Les lavandières de nuit
Les derniers rayons de la Lune,
S’épanchent sur les plaines foudroyées,
Atténuant de leur pâle blancheur
Le noir qui tâche le courant des rumeurs.
Ils se rejoignent et deviennent une,
Colonne lumineuse d’irréalité.
Le soleil s’endort.
Vous vous tapissez dans vos draps douillets
De peur, de froid tremblant.
Le réveil de vos cauchemars,
Sonne le glas des vivants.
A l’immuable instar
Du chuchotement des machabés.
Les lavandières se mettent à chanter.
Pointant alors votre cachette,
Les lavandières vous maudissent,
Et chantent leur piété
Devant votre supplice.
Et c’est dans ce doux parfum de réglisse,
Que rien ne les arrête.
Elles s’en délectent sadiquement.
Les corps se crispent dans la nuit,
Les cris assourdissant
Percent les tympans.
Les corps se crispent dans la nuit,
Les tympans sont percés de cris,
Les lavandières sont de sorties …
By Belou’
Les derniers rayons de la Lune,
S’épanchent sur les plaines foudroyées,
Atténuant de leur pâle blancheur
Le noir qui tâche le courant des rumeurs.
Ils se rejoignent et deviennent une,
Colonne lumineuse d’irréalité.
Le soleil s’endort.
Vous vous tapissez dans vos draps douillets
De peur, de froid tremblant.
Le réveil de vos cauchemars,
Sonne le glas des vivants.
A l’immuable instar
Du chuchotement des machabés.
Les lavandières se mettent à chanter.
Pointant alors votre cachette,
Les lavandières vous maudissent,
Et chantent leur piété
Devant votre supplice.
Et c’est dans ce doux parfum de réglisse,
Que rien ne les arrête.
Elles s’en délectent sadiquement.
Les corps se crispent dans la nuit,
Les cris assourdissant
Percent les tympans.
Les corps se crispent dans la nuit,
Les tympans sont percés de cris,
Les lavandières sont de sorties …
By Belou’