Demain, dès l’aube …
Cette pluie qui tombe, doucement, lentement
Là, debout, nerveux, je t’attends.
Le cœur serré, sans traces d’austère
Avec, pour une fois, mon ressentiment en bandoulière.
Un regard, une étreinte, un aperçu
Une sensation, un pincement, un sentiment irrésolut.
La pluie s’arrête pour moi, laisse place au soleil
Je t’aime.
Ce ciel si bleu, et toi à mes côtés,
Ces arbres si verts et si purs
Et surtout le chant discontinu de la cascade.
L’eau coule, douceureuse, sur une facade
De pierres aussi grises et dures
Que mon cœur est rouge et ébouillanté.
Ne voir que toi, l’espace d’un instant,
Cet aperçu utopique du bonheur uniquement.
Les feuilles prennent le vent au cœur de leur bras
Pour danser avec lui sous le doux murmure.
Et c’est doucement que j’ôte mon armure,
Pour me complaire de cette nuit auprès de toi …
Un sourire, un visage, une femme,
Un câlin, un baiser, quelle entame !
Belou’
Je crois en la nuit, car tu es là.
Cette pluie qui tombe, doucement, lentement
Là, debout, nerveux, je t’attends.
Le cœur serré, sans traces d’austère
Avec, pour une fois, mon ressentiment en bandoulière.
Un regard, une étreinte, un aperçu
Une sensation, un pincement, un sentiment irrésolut.
La pluie s’arrête pour moi, laisse place au soleil
Je t’aime.
Ce ciel si bleu, et toi à mes côtés,
Ces arbres si verts et si purs
Et surtout le chant discontinu de la cascade.
L’eau coule, douceureuse, sur une facade
De pierres aussi grises et dures
Que mon cœur est rouge et ébouillanté.
Ne voir que toi, l’espace d’un instant,
Cet aperçu utopique du bonheur uniquement.
Les feuilles prennent le vent au cœur de leur bras
Pour danser avec lui sous le doux murmure.
Et c’est doucement que j’ôte mon armure,
Pour me complaire de cette nuit auprès de toi …
Un sourire, un visage, une femme,
Un câlin, un baiser, quelle entame !
Belou’
Je crois en la nuit, car tu es là.