Je hume l’essence pure du soir
Dans le silence meurtri de mon âme.
La galaxie verse son flot d’étoiles
Sur la planète avide d’espérance.
Le temps fracasse des foules de nuages
Dans les anfractuosités des falaises.
Les chimères obstinées se propagent
Vers le foyer vertical du mirage.
Les fêlures de l’univers s’aggravent
Pendant que se pâment des fleurs de nuit.
Dans le silence meurtri de mon âme.
La galaxie verse son flot d’étoiles
Sur la planète avide d’espérance.
Le temps fracasse des foules de nuages
Dans les anfractuosités des falaises.
Les chimères obstinées se propagent
Vers le foyer vertical du mirage.
Les fêlures de l’univers s’aggravent
Pendant que se pâment des fleurs de nuit.