Dans l'ombre balbutieur de son insuffisance,
A l'estime, il invente un autre chevalet
Quand il décrit la mer comme un ciel de plaisance,
D'un regard, son bas-fond. Lequel est le reflet...
Mais à peine ose-t-il d'une digue de lierre
Traverser le miroir. Là, une âme trépasse.
Celle-ci est pendue à ce plafond de verre,
Un nuage d'orgueil que le silence embrasse...
Quand viendra la radée, ses pierres de belle eau,
La flaque au vif-argent sera passe-colère
De perles enfilées par-dessus le verseau
Qu'aux yeux de ce beau monde, forme le phanère,
Et des passions le feu qui de si haut noyé
Aura laissé le goût de la cendre volante,
Imprimera l'envie quand l'art est vouvoyé,
Du zèle, et humblement, dira le dilettante...
A l'estime, il invente un autre chevalet
Quand il décrit la mer comme un ciel de plaisance,
D'un regard, son bas-fond. Lequel est le reflet...
Mais à peine ose-t-il d'une digue de lierre
Traverser le miroir. Là, une âme trépasse.
Celle-ci est pendue à ce plafond de verre,
Un nuage d'orgueil que le silence embrasse...
Quand viendra la radée, ses pierres de belle eau,
La flaque au vif-argent sera passe-colère
De perles enfilées par-dessus le verseau
Qu'aux yeux de ce beau monde, forme le phanère,
Et des passions le feu qui de si haut noyé
Aura laissé le goût de la cendre volante,
Imprimera l'envie quand l'art est vouvoyé,
Du zèle, et humblement, dira le dilettante...
Faire et dire autrement...
Poétiquement,
lio...