Je flane sur le bord de mes lagons intimes,
Y pose mes regards qu'une allaise dément
D'être un fond ténébreux comme un noir sédiment
Qui agence le trouble à ces ondes sublimes,
Les coraux effanés ont serti mes nombrils
D'apartés que calcinent les concrétions plates.
J'enlumine un tourment sous les fleurs écarlates
A la craie des polypes, hors d'extrêmes périls,
Et j'écoute un instant cette plage diserte
Où les lèvres, d'un souffle, à l'ennui ramenées
perpetuent l'infini, porcelaines chinées,
Quand l'éloge du vent est parole déserte...
Y pose mes regards qu'une allaise dément
D'être un fond ténébreux comme un noir sédiment
Qui agence le trouble à ces ondes sublimes,
Les coraux effanés ont serti mes nombrils
D'apartés que calcinent les concrétions plates.
J'enlumine un tourment sous les fleurs écarlates
A la craie des polypes, hors d'extrêmes périls,
Et j'écoute un instant cette plage diserte
Où les lèvres, d'un souffle, à l'ennui ramenées
perpetuent l'infini, porcelaines chinées,
Quand l'éloge du vent est parole déserte...
Merci.