Les balles de coton déposent leur boucaille
Aux crêtes mesurées des éminents assis,
Qu'un camaiëux offrant ses détritus roussis,
Jonche de feuillets morts. L'été va sur la paille...
A ces monts inchangés qu'un temps a devêtus,
De mon huis-clos frileux, je prends la contenance ,
Un volume assoupi adossé à l'instance
Intimée par l'appel outrageant les vertus
De l'âge dont la fleur a l'an de l'éphémère...
Aux crêtes mesurées des éminents assis,
Qu'un camaiëux offrant ses détritus roussis,
Jonche de feuillets morts. L'été va sur la paille...
A ces monts inchangés qu'un temps a devêtus,
De mon huis-clos frileux, je prends la contenance ,
Un volume assoupi adossé à l'instance
Intimée par l'appel outrageant les vertus
De l'âge dont la fleur a l'an de l'éphémère...