Nue
Nue,
Sous mon peignoir entrouvert
Tu m’étudies intensément.
Je me trouble
Devant ton regard brûlant.
Femme fragile et égarée,
Pourquoi t’ai-je fui?
Tes mains glissant sur mes épaules
Tu laisses choir ma seule parure,
Je me retrouve contre ton corps;
Émotion intense
Du temps d’avant.
Étincelle pérenne
Qui ravive nos cœurs,
Tu n’étais qu’en sommeil.
Je me sentais si misérable,
Comme un fardeau,
Je refusais de t’encombrer,
Imbriquant pitié et amour.
Dieu que le doute est donc acerbe
Qui vous tourmente chaque jour.
Au creux de toi je veux revivre
Ces doux instants de communion.
Quand je suis faible
Tu es ma force
Et quand je pleure
Tu me souris,
Quand je repose
Tu me veilles
De ton amour toujours brûlant.
La vie peut être douloureuse
Et merveilleuse.
Fasse ‘mon dieu’ qu’elle me préserve.
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