FIN
Hauts sont les murs du silence
Qu’il dresse impunément
Juste pour la parade.
Tout en lui
Qu’il se l’avoue ou non
N’est que pure mascarade.
Il s’enroule à vous tel un volubilis
Puis s’écarte brusquement
Et s’enfuit sans un mot.
Il revient en un froissement d’ailes
Vous effleurant par instant
Juste en un coup de vent.
Son humeur vagabonde aisément
En laissant libre cours
À ses frivoles instincts.
Jamais il ne se fixe
Trop de rêves l’emportent
Là où n’est pas la tangible nature.
(Ecrit purement fictif)
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