Au début
Tels deux automates
La vie passait à côté de nous
Dans la nuit froide
Ta main enveloppa la mienne
Tu me rapprochas de ton corps
J’eus un frémissement imperceptible.
Je sentis soudain qu’en nous voyant ainsi
Certains auraient pensé voir un couple d'amoureux.
Le froid qui me glaçait
Me poussait irrésistiblement vers toi.
Le silence était si pesant
Qu’il me martelait la tête
Ton parfum raffiné me caressait.
A l’instant même
J’avais envie d’un baiser,
Mais déjà je savais
Que tu n’oserais ce geste.
Toi, si délicat!
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