Jeux… Inédits!
J’aime ton doux contact quelle cajolerie
Quand langoureusement tu investis ma peau,
Ton parfum qui s’élève en s’offrant en cadeau,
Fait chavirer mon cœur telle une flatterie
Tu me traques vraiment, me collant au plus près,
Me suivant pas à pas, jamais ne te relâches.
Tu veux me retrousser, alors là je me fâche,
Gênée je m'embrunis gauche de mon attrait.
Quand un regard sur moi se pose, je m’émeus,
Je me prends à rougir en songeant aux caresses,
Vives et assoiffées, glissant jusqu’à mes fesses,
Que d’autres mains pourraient divertir de leurs jeux.
Allons sois plus pudique ou bien je vais craquer
M’énerver, te jeter, te dire : « hors de ma vue »
Maintenant ça suffit, je ne t’ai que trop vue…
Toi ma robe moulante, arrête de choquer…!
Ecrit en 2005
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