"Quelle chaude nuit"
L'irrespirable chaleur s'est évaporée
Le rêve se forge qu'Elle sera honorée,
Elle abandonnera dans un instant son corps
A celui qu'elle aime et donnera son accord.
Sur la couche installés, enflammées leurs peaux nues
Frissonneront d'ivresse et d'amour non contenus.
Suivant l'ondulation que suggèrent leurs doigts
Qui griseront creux et vallons en tous endroits,
De lèvre à lèvre iront sceller un bouche à bouche
S'embrasseront bien plus empressés que farouches.
En dégrafant son haut pour déguster ses seins
Qui lui seront offerts puisqu'il s'en repaît bien.
Ses cuisses comme enfer où le chaud orifice
Qu'il boira lestement léchant avec délice
Leur procurant jouissance en un heureux bienfait
Les laissant pantelants sous endiablés effets.
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