Que le courant ne me déporte, ni de bord et point à mon débord, pas de déboires.
Je ne perds pas de vue cette belle écluse.
Des cales sèches, je m’enivre, du vide de ces plaines.
Sèche de plénum à court de vent, en attente d’une bise.
Les attaches à la ramasse, toutes voiles basses.
Le fœhn de mes ancres sent la sardine.
Je ne perds pas de vue cette belle écluse.
Des cales sèches, je m’enivre, du vide de ces plaines.
Sèche de plénum à court de vent, en attente d’une bise.
Les attaches à la ramasse, toutes voiles basses.
Le fœhn de mes ancres sent la sardine.
Amicalement
KATY60