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Chronique d'un comptoir d’abattoir.

Posté par gesticule, 14 octobre 2011 · 646 visite(s)

Il faut voire à la vitesse où lis fondent, ils restent frais mais l’air y demeure très chaud et humide. Entre les cuisses qui s’écartent et les mâchoires qui se disloquent, d’alènes fétides et de dessous moites les brises se font rares.