Un souffle, sur ma nuque, doucement s’éveille
Brisant mes chaînes, caressant ma chair, mes nerfs
Et de ma tour, je le vois, clair, net et de fer
Alors, de mon siège, je me lève et je veille
Et sous l’ombre, mon rêve s’endort
Suivant un nombre, cet être sombre
Fort, je le vois, touchant la pénombre
Laissant ce voile fondre pour un porc
Et ce fleuve, s’écoule à son tour
Brisant ce silence, suivant son cours.
Je m’emporte, je me transporte
Et sous cette sensation qui m’emporte
Sous ces cris, sous cette douleur, cette torpeur
Je me retire, me laissant sans vie, sans peur.
Brisant mes chaînes, caressant ma chair, mes nerfs
Et de ma tour, je le vois, clair, net et de fer
Alors, de mon siège, je me lève et je veille
Et sous l’ombre, mon rêve s’endort
Suivant un nombre, cet être sombre
Fort, je le vois, touchant la pénombre
Laissant ce voile fondre pour un porc
Et ce fleuve, s’écoule à son tour
Brisant ce silence, suivant son cours.
Je m’emporte, je me transporte
Et sous cette sensation qui m’emporte
Sous ces cris, sous cette douleur, cette torpeur
Je me retire, me laissant sans vie, sans peur.