D'inextinguibles fêtes épaississent la rive
des panaches de fumées s'enchevêtrent
dans sa prison qui brasille
l'orangé s'aliène l'horizon
des chairs de bronze conglomèrent un levant avide
des musiques en boîte
aventurent des trémoussements
le pain myriadaire plaisante
le vieux rompement multiplicateur de l'évangile
aucune voix n'atteint à la rencontre
aucun baiser ne distance l'aspect
Mais
sur les frissons pastel de l'eau
un geste
cygne exact
sa lenteur
la limite
outrepassée
détisse ma présence
en noue
le fil
au glissando du soir
- bɔētiane, FlorentM et En hoir de Loup-de-lune aiment ceci
Etrange enchevêtrement de couleurs, d'impressions, de lieux, de personnes ...
Comme un ensemble d'éléments divers qui figerait le paysage et mettrait quelque chose ou quelqu'un à l'abri,
derrière des positions retranchées d'abord.
Enfin, ce glissendo du soir, qui surpasserait ce qui précède, par tant cette douceur du ressenti des liens invisibles.
Mais, je me suis peut-être égarée ... Si tel était le cas, veuillez me pardonner cet essai d'approche.
Bien amicalement.
hasia