J’ai croisé ce matin l’ombre de mon amour,
Marchant seule sous l’arche aux murs ensoleillés.
Elle n’est plus si belle, et ses yeux sont fanés,
Mais son sourire est là, radieux, comme toujours.
J’ai aimé ce sourire, adoré ce regard,
Je me suis vu cent fois effleurer cette lèvre,
Embrasser cette peau qui m’emplissait de fièvre,
Et puis, j’ai oublié, peu à peu, son départ.
Je me croyais guéri de ces vieilles brûlures,
Je croyais que le temps fermerait la blessure,
Qu’il avait apaisé les plaies et les langueurs,
Mais l’amour à laissé traces de son passage :
Le reflet d’un sourire au coin de son visage,
Et l’écho de son nom, quelque part dans mon cœur.
Marchant seule sous l’arche aux murs ensoleillés.
Elle n’est plus si belle, et ses yeux sont fanés,
Mais son sourire est là, radieux, comme toujours.
J’ai aimé ce sourire, adoré ce regard,
Je me suis vu cent fois effleurer cette lèvre,
Embrasser cette peau qui m’emplissait de fièvre,
Et puis, j’ai oublié, peu à peu, son départ.
Je me croyais guéri de ces vieilles brûlures,
Je croyais que le temps fermerait la blessure,
Qu’il avait apaisé les plaies et les langueurs,
Mais l’amour à laissé traces de son passage :
Le reflet d’un sourire au coin de son visage,
Et l’écho de son nom, quelque part dans mon cœur.