Les soutanes serrées sur leur taille, les mains
Perdues dans la profondeur de leur larges manches
Les moines et les frères vivent leur vie étanche
A l’écart des tourments du monde des humains.
Dans le cloître embrumé, les parterres se penchent
Sous l’assaut de l’orgue et des chants grégoriens,
Et la musique s’élevant dans le lointain
Se perd dans la forêt de feuilles et de branches.
Quand la cloche de vêpres secoue le matin,
Eveillant les cerveaux des prêtres endormis,
La communauté de l’oubli prend le chemin,
Pour la messe matinale, de l’abbaye ;
Et dans la lourde torpeur du ciel couvert,
Le monastère dort dans son cocon de pierre.
Perdues dans la profondeur de leur larges manches
Les moines et les frères vivent leur vie étanche
A l’écart des tourments du monde des humains.
Dans le cloître embrumé, les parterres se penchent
Sous l’assaut de l’orgue et des chants grégoriens,
Et la musique s’élevant dans le lointain
Se perd dans la forêt de feuilles et de branches.
Quand la cloche de vêpres secoue le matin,
Eveillant les cerveaux des prêtres endormis,
La communauté de l’oubli prend le chemin,
Pour la messe matinale, de l’abbaye ;
Et dans la lourde torpeur du ciel couvert,
Le monastère dort dans son cocon de pierre.