En ces temps magiques, quand le Temps et la Terre
S’unirent, donnant vie pour la première fois,
Zeus, Poséidon et Hadès, trois dieux, trois frères
Créèrent l’humanité, ses vies, sa foi.
Le premier s’en alla sur l’Olympe régner
Créant d’autres dieux, du crâne ou de a cuisse ;
Le second prit la mer, et ses vagues bleutées
Tentèrent vainement d’immerger des Ulysses.
Le troisième quant à lui, prit ce qui restait,
Comme ses deux frères lui refusait la terre ;
Il leur tourna le dos, aigri et rancunier
Pour créer sue le Styx le monde des enfers.
C’était le temps des dieux, sur ces lointaines terres
Peuplées d’êtres mythiques où l’on voyait parfois
Vaillants héros sans peurs, Cyclopes et Chimères
Au service des dieux, au service des rois.
Ces héros fabuleux affrontaient les Cerbères,
Les Sphinx, les hydres des régions de Corinthe,
Et les Minotaures qui hurlaient, solitaires,
Dans les couloirs déserts de leurs grands Labyrinthes.
Entre les oliviers, les monts et les ravines
Satyres et Nymphes, filles et fils de Pan
Attiraient les mortels vers les basses collines
En les charmants de leurs dansent et de leurs chants.
Bien que ces mythologies furent remplacées
Par les dogmes hiérarchiques de ces pairs,
L’homme n’a jamais vraiment pu se séparer
De son adorations pour d’antiques chimères.
S’unirent, donnant vie pour la première fois,
Zeus, Poséidon et Hadès, trois dieux, trois frères
Créèrent l’humanité, ses vies, sa foi.
Le premier s’en alla sur l’Olympe régner
Créant d’autres dieux, du crâne ou de a cuisse ;
Le second prit la mer, et ses vagues bleutées
Tentèrent vainement d’immerger des Ulysses.
Le troisième quant à lui, prit ce qui restait,
Comme ses deux frères lui refusait la terre ;
Il leur tourna le dos, aigri et rancunier
Pour créer sue le Styx le monde des enfers.
C’était le temps des dieux, sur ces lointaines terres
Peuplées d’êtres mythiques où l’on voyait parfois
Vaillants héros sans peurs, Cyclopes et Chimères
Au service des dieux, au service des rois.
Ces héros fabuleux affrontaient les Cerbères,
Les Sphinx, les hydres des régions de Corinthe,
Et les Minotaures qui hurlaient, solitaires,
Dans les couloirs déserts de leurs grands Labyrinthes.
Entre les oliviers, les monts et les ravines
Satyres et Nymphes, filles et fils de Pan
Attiraient les mortels vers les basses collines
En les charmants de leurs dansent et de leurs chants.
Bien que ces mythologies furent remplacées
Par les dogmes hiérarchiques de ces pairs,
L’homme n’a jamais vraiment pu se séparer
De son adorations pour d’antiques chimères.