Et j’écoute ton cœur au son de mes souvenirs
Et dans mon corps, terreur, je n’ai plus peur d’écrire.
Et je suggère mes dires, je sens ton cœur partir,
J’angoisse rien que pour te dire, que c’est tout un honneur.
Et je t’ai rencontrée sur la route de mes idées,
Je t’apporte toute une escorte, qu’elle puisse te consoler.
Et dans ma tête je porte une douleur qui me hante
J’apprends à te garder, contourner ce qui me tente.
Je me sens battre des ailes, je suis tombé pour elle,
Je suis tombé sur celle, qui m’a appris l’amour.
Que dire d’elle qui m’entoure, je guette et d’un détour,
Ce regard qui m’ensorcèle, tel un drôle troubadour.
Et mine de rien j’enquête, tel un poète dans son émoi,
Dans mes chimères je guette, je pars en quête en toi.
Mes passions sur les trottoirs dans les rues du désespoir
Sous l’abribus il peut pleuvoir, trois petits points et un espoir.
Qu’elle prenne son cœur pour une écorce, qu’importe ;
Qu’elle délaisse ses forces sur moi, qu’elle sorte ;
Qu’elle désamorce les bombes comme ce piège à homme,
Qu’importe, l’or est là , et je crois que je l’aime.
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ET L'OR EST LA
Débuté par thescientist, mars 15 2008 06:08
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