58 réponses à ce sujet

[Vivien]

*
Montée à Châtelet, s’est assise à quelques mètres (disons 4) de moi, plus ou moins de face. Portait une jupe et des bas de nylon gris. Disons 35 ans. Cheveux bruns mi-longs, visage fin aux traits frais. Taille et jambes agréables. Beau yeux marrons foncés, purs. M’a dévisagé la première, assez vite. Ai fait de même. Avons un peu soutenu nos regards. Le cœur s’est emballé, signe que je ne suis pas mort du tout comme mes pensées aiment à me le seriner nuit et jour. Passé Pyramides, ait commencé à ne plus détacher mes yeux d’elle. A osé relever ses yeux vers moi, et nous nous sommes regardé jusqu’à la prochaine station. Cœur brûlant et irrégulier, érection, pour mon bonheur. A détourné ses yeux et s’est enfuie arrivée à Madeleine. Ai suivi de derrière ma vitre sa silhouette jusqu’à ce qu’elle disparaisse en haut d’un escalator. Sensation agréable en repensant à elle, encore maintenant, et sans doute jusqu’à demain.

[Paname]

Gratification de bandaison
c'est toujours ça de pris
au moins pour vivien


c'est bien raconté
l'émotion est créée :
on en banderait presque aussi...

[Victorugueux]

C'est le printemps qui te travaille hi ! hi! hi! je me sens aussi léger

[sakkat]

*
Montée à Châtelet, s’est assise à quelques mètres (disons 4) de moi, plus ou moins de face. Portait une jupe et des bas de nylon gris. Disons 35 ans. Cheveux bruns mi-longs, visage fin aux traits frais. Taille et jambes agréables. Beau yeux marrons foncés, purs. M’a dévisagé la première, assez vite. Ai fait de même. Avons un peu soutenu nos regards. Le cœur s’est emballé, signe que je ne suis pas mort du tout comme mes pensées aiment à me le seriner nuit et jour. Passé Pyramides, ait commencé à ne plus détacher mes yeux d’elle. A osé relever ses yeux vers moi, et nous nous sommes regardé jusqu’à la prochaine station. Cœur brûlant et irrégulier, érection, pour mon bonheur. A détourné ses yeux et s’est enfuie arrivée à Madeleine. Ai suivi de derrière ma vitre sa silhouette jusqu’à ce qu’elle disparaisse en haut d’un escalator. Sensation agréable en repensant à elle, encore maintenant, et sans doute jusqu’à demain.

magnifique. Merci. Ah il faut publier ça.

[Vivien]

no problemo.
puis, ce que j'écris ne m'appartiens déjà plus, comme je le dis souvent. gratuit (heureusement vu la production), publiable, transformable, etc
je garde juste tout sur mon ordi, parfois pour me souvenir.

***

ely, je ne sais pas vraiment ce qu'est la poésie, je ne m'astreins à aucune règle, ce dont je suis sûr est que tout cela part d'un grand besoin de communiquer, de ne pas seulement subir la solitude. il n'y a pas vraiment de truc transcendental au-dessus de tout ca... ce ne sont que des textes... l'avenir est autre part que dans les textes... peace

[Vivien]

http://media.putfile...pport-inconnues

[Petite demoiselle]

je ne sais pas vraiment ce qu'est la poésie, je ne m'astreins à aucune règle, ce dont je suis sûr est que tout cela part d'un grand besoin de communiquer, de ne pas seulement subir la solitude. il n'y a pas vraiment de truc transcendental au-dessus de tout ca... ce ne sont que des textes... l'avenir est autre part que dans les textes... peace

Pourquoi publies tu si tu ne sais pas ce qu'est la poésie ? Si la poésie n'est qu'une succession de textes, de mots, de syllabes, sans but et sans fondement, que fais tu donc ? Les mots ont plus de force et de sens que tu veux bien l'admettre.
Pour le style télégraphique, je suis un peu dubitative. A part une histoire de courier du coeur, comme on peut en lire des pages jusqu'à l'écoeurement dans certains journaux, que cherches tu à transmettre ? Tu me donnes l'impression de marcher au hasard... Mais c'est ton affaire.

[Vivien]

L'immense majorité des gens que je cotoie s'empresse de tirer des conclusions sur mes plus simples paroles, là où il n'y a pas lieu de tirer de telles conclusions. Comme le conducteur dans une automobile qui ne voudrait pas ralentir, et qui jugerait les autres conducteurs sans les voir distinctement, en désespoir de cause.

Le manque de logique n'est que le second moteur de cette automobile folle. (est-ce que le fait de ne pas savoir définir la poésie implique un quelconque devoir de ne pas publier de poèmes ? Ensuite, le fait que je dise que les poèmes ne sont que des textes, n'implique pas que ces textes soient 'sans fondement et sans but'; non, au contraire, si tu m'avais lu sans monter sur tes grands chevaux, je disais : 'besoin de communiquer', ce qui me paraît une essence profonde et valable. Bref.)

Le premier moteur, et il ne pourrait même parfois ne rester que celui-là, c'est la volonté de se retrancher dans ses campements, dans ses certitudes. Tu fais preuve de beaucoup moins d' "esprit poétique" que moi, en me condamnant sans appel, en oubliant exprès ce pour quoi même j'écris, la solitude, ou la besoin de communiquer; et pour quiconque qui ne partage pas ta vue poétique, ton message peut sembler injuste et geolier : 'si vous ne considérez la poésie comme transcendentale ou comme autre choses que du texte, alors vous n'en publiez pas.'

Avant de te laisser, je voudrais ajouter un détail non négligeable : je parlais de mes textes, et pas de la poésie en général. La poésie en général dépasse les poèmes, textes, en sort, et probablement est-ce pour cela qu'elle n'est pas définissable, selon moi. Si tu m'avais lu moins hâtivement, peut être aurais-tu compris que je ne disais justement pas que la poésie était une succession de textes, etc...

Enfin...
Vous voulez m'épuiser, je crois ?

[Petite demoiselle]

L'immense majorité des gens que je cotoie s'empresse de tirer des conclusions sur mes plus simples paroles, là où il n'y a pas lieu de tirer de telles conclusions. Comme le conducteur dans une automobile qui ne voudrait pas ralentir, et qui jugerait les autres conducteurs sans les voir distinctement, en désespoir de cause.

Le manque de logique n'est que le second moteur de cette automobile folle. (est-ce que le fait de ne pas savoir définir la poésie implique un quelconque devoir de ne pas publier de poèmes ? Ensuite, le fait que je dise que les poèmes ne sont que des textes, n'implique pas que ces textes soient 'sans fondement et sans but'; non, au contraire, si tu m'avais lu sans monter sur tes grands chevaux, je disais : 'besoin de communiquer', ce qui me paraît une essence profonde et valable. Bref.)

Le premier moteur, et il ne pourrait même parfois ne rester que celui-là, c'est la volonté de se retrancher dans ses campements, dans ses certitudes. Tu fais preuve de beaucoup moins d' "esprit poétique" que moi, en me condamnant sans appel, en oubliant exprès ce pour quoi même j'écris, la solitude, ou la besoin de communiquer; et pour quiconque qui ne partage pas ta vue poétique, ton message peut sembler injuste et geolier : 'si vous ne considérez la poésie comme transcendentale ou comme autre choses que du texte, alors vous n'en publiez pas.'

Avant de te laisser, je voudrais ajouter un détail non négligeable : je parlais de mes textes, et pas de la poésie en général. La poésie en général dépasse les poèmes, textes, en sort, et probablement est-ce pour cela qu'elle n'est pas définissable, selon moi. Si tu m'avais lu moins hâtivement, peut être aurais-tu compris que je ne disais justement pas que la poésie était une succession de textes, etc...

Enfin...
Vous voulez m'épuiser, je crois ?

Mon seul désespoir de cause réside dans un paradoxe où tu t'empêtres toi-même. A mon tour de te faire remarquer que tu m'as lue trop vite. La poésie peut se définir, au contraire, tu viens de le prouver. Tu dis qu'elle "dépasse les poèmes, les textes", parce qu'elle en sort. La poésie est donc un courant transcendental qui irradie de la musique des mots et des analogies auquelles elle renvoie: la poésie, c'est un autre regard sur le monde, une ouverture vers ce qui nous dépasse et nous saisit. Je suis d'accord pour concéder que la forme ne peut se substituer au fond, mais de là à faire n'importe quoi... Moderne ou non, la poésie n'est pas le marché aux puces ! J'ai eu l'impression de lire une feuille de chou avec en prime des commentaires bien lourds, typiquement masculins... Ca n'a pas de saveur, et je le répète : que cherches tu à transmettre ?
Amis de la poésie, bonsoir.

[Vivien]

La poésie peut se définir, au contraire, tu viens de le prouver. Tu dis qu'elle "dépasse les poèmes, les textes", parce qu'elle en sort. La poésie est donc un courant transcendental qui irradie de la musique des mots et des analogies auquelles elle renvoie: la poésie, c'est un autre regard sur le monde, une ouverture vers ce qui nous dépasse et nous saisit.

Je ne considère pas cela comme une définition. Je ne l'ai pas posé comme tel, et aucun cadre n'arrive à l'englober : demain un acte nouveau apparaitra, et une poésie nouvelle apparaitra, bousculant l'ancienne. Le fait de dire qu' 'une poésie qui dépasse' est une définition est pur jeu de théoicien, et je m'en contrefous, sincèrement. Nous pourrions remonter jusqu'à Dieu, en passant par le fromage et l'alexandrin. L"idée est autre part.

Je suis d'accord pour concéder que la forme ne peut se substituer au fond, mais de là à faire n'importe quoi... Moderne ou non, la poésie n'est pas le marché aux puces ! J'ai eu l'impression de lire une feuille de chou avec en prime des commentaires bien lourds, typiquement masculins... Ca n'a pas de saveur, et je le répète : que cherches tu à transmettre ?
Amis de la poésie, bonsoir.

aucun rapport avec mon poème. le problème du fond et de la forme n'était pas tissé autour de lui. je ne prend pas comme prétexte un fond tout puissant pour gerber n'importe quoi. je dis simplement à ely, une amie, qui s'interroge tristement, de ne pas s'inquiéter : avec ou sans moi, la poésie continue. mes textes ne sont que des textes. point.

Après, le regard que tu portes sur mon texte n'a donc rien à voir avec la portée plus générale soulevée dans ma réponse. Je ne justifiais nullement ce texte. Cependant, sache que, malgré mon détachement vis à vis de lui et ma capacité à connaître l'inconsistance de ma parole, mon insignifiance, je le considère comme un des plus précieux que j'ai écrit. Il est rare que j'ai des sursauts de vie; j'en ai été moi même touché et secoué; tout seul, puis j'ai accouché de lignes devant des gens qui n'existeront jamais pour moi, sauf exceptions.

(Ici, j'ai essayé d'éclaircir tes pensée une dernière fois. Tout est clairement exprimé de mon côté, probablement encore un peu obscur du tien. Aurevoir.)

[Petite demoiselle]

Je ne considère pas cela comme une définition. Je ne l'ai pas posé comme tel, et aucun cadre n'arrive à l'englober : demain un acte nouveau apparaitra, et une poésie nouvelle apparaitra, bousculant l'ancienne. Le fait de dire qu' 'une poésie qui dépasse' est une définition est pur jeu de théoicien, et je m'en contrefous, sincèrement. Nous pourrions remonter jusqu'à Dieu, en passant par le fromage et l'alexandrin. L"idée est autre part.



aucun rapport avec mon poème. le problème du fond et de la forme n'était pas tissé autour de lui. je ne prend pas comme prétexte un fond tout puissant pour gerber n'importe quoi. je dis simplement à ely, une amie, qui s'interroge tristement, de ne pas s'inquiéter : avec ou sans moi, la poésie continue. mes textes ne sont que des textes. point.

Après, le regard que tu portes sur mon texte n'a donc rien à voir avec la portée plus générale soulevée dans ma réponse. Je ne justifiais nullement ce texte. Cependant, sache que, malgré mon détachement vis à vis de lui et ma capacité à connaître l'inconsistance de ma parole, mon insignifiance, je le considère comme un des plus précieux que j'ai écrit. Il est rare que j'ai des sursauts de vie; j'en ai été moi même touché et secoué; tout seul, puis j'ai accouché de lignes devant des gens qui n'existeront jamais pour moi, sauf exceptions.

(Ici, j'ai essayé d'éclaircir tes pensée une dernière fois. Tout est clairement exprimé de mon côté, probablement encore un peu obscur du tien. Aurevoir.)

La parole révèle la pensée. Que penser alors d'une parole inconsistante ? La théoricienne te salue bien. Puisses tu trouver d'autres instants de vie qui te fassent plus d'effet qu'une vulgaire poussée d'hormones.
Mon raisonnement est tout ce qu'il ya de plus clair : je n'y vais pas par quatre chemins. Ton texte est insipide, ta pensée est creuse et je plains la malheureuse que tu as dévisagé comme un morceau de viande. Est-ce suffisant pour que tu comprennes ? Là je suis méchante, mais tu m'épuises.

Amitiés tout de même. Petite demoiselle

[Vivien]

ha mais tu es féminisite ! d'accord je n'avais pas compris. mdr. Paris VI, féministe, parfait. Delanoë aussi, non ? Voilà l'explication de tant d'épaisseur et d'incohérence ! De questions à demi philosophiques entassées pour pallier au manque de raisonnement, pour étouffer l'interlocuteur, le pauvre ! Tu es au lycée, à mon avis, probablement en première ou terminale.

sinon : tu continues à critiquer mon texte ; soit; il me semble que j'avais compris ton point de vue; je soulignais simplement qu'il ne fallait pas de là tirer de conclusion hâtive sur ma conception de la poésie, mais ca te passe visiblement bien au dessus de la tête. Alors, première, terminale ? Littéraire, bien entendu ?)

[Petite demoiselle]

ha mais tu es féminisite ! d'accord je n'avais pas compris. mdr. Paris VI, féministe, parfait. Delanoë aussi, non ? Voilà l'explication de tant d'épaisseur et d'incohérence ! De questions à demi philosophiques entassées pour pallier au manque de raisonnement, pour étouffer l'interlocuteur, le pauvre ! Tu es au lycée, à mon avis, probablement en première ou terminale.

sinon : tu continues à critiquer mon texte ; soit; il me semble que j'avais compris ton point de vue; je soulignais simplement qu'il ne fallait pas de là tirer de conclusion hâtive sur ma conception de la poésie, mais ca te passe visiblement bien au dessus de la tête. Alors, première, terminale ? Littéraire, bien entendu ?)

Bravo Einstein, n'importe quel quidam est capable de lire mon profil. Tout d'abord je ne suis pas féministe, mais plutôt conservatrice, tu l'aurais deviné si tu avais lu mes textes en passant (ça fait de moi la méchante parfaite, n'est-ce pas?). Est-ce une obsession chez les garçons de vouloir étiqueter tout le monde ? Ensuite, si tu penses me snober en te basant sur mon âge, non seulement tu es puéril, mais en plus tu dois vraiment avoir épuisé tous tes autres arguments ( très pauvres au demeurant). Troisièmement, quelle conception de la poésie ? Je croyais que ce n'était que des textes indéfinissables ? Ah oui, un mode de communication ! Les sms ça marche très bien aussi, et on peut se permettre toutes les fautes qu'on veut, qu'elles soient d'orthographe ou de style.

Ps j'execre la politique de Delanoë, et j'ai des raisons très précises pour ça. Mais la politique n'a pas sa place sur ce forum.

Là, tu m'énerves vraiment.
Petite demoiselle

[Vivien]

tu es anarchiste ?

sinon, j'ai 12 ans.

(on remarquera, au passage, toujours la même technique : tirer des conclusions qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que j'ai jamais mis au même plan sms ou poèmes en parlant de communiquer ? je n'avais absolument pas cette conception réductrice de la communication. pour les arguments, j'ai déjà donné, mais tant d'épaisseur m'amène à montrer, moi, plutôt de la gaieté, ou de l'ironie, enfin pleins de trucs mordant, quoi.)

[Vivien]

ba a la fin elle ne me regardait plus. j'ai compris qu'elle était seulement curieuse un moment qu'un jeune la regarde comme ça.

[Petite demoiselle]

tu es anarchiste ?

sinon, j'ai 12 ans.

(on remarquera, au passage, toujours la même technique : tirer des conclusions qui n'ont pas lieu d'être. Est-ce que j'ai jamais mis au même plan sms ou poèmes en parlant de communiquer ? je n'avais absolument pas cette conception réductrice de la communication. pour les arguments, j'ai déjà donné, mais tant d'épaisseur m'amène à montrer, moi, plutôt de la gaieté, ou de l'ironie, enfin pleins de trucs mordant, quoi.)

Et tu dis sur ton profil que tu en as 20... Très intéressant comme mode de fonctionnement. Quel besoin avais-tu de transformer ce détail ? Aux âmes bien nées la valeur n'attend point le nombre des années, ou si tu préfères, tu pouvais tout à fait jouer franc jeu dès le départ sans craindre d'être jugé négligeable.

Pour la référence aux sms que tu me reproches, n'as tu pas senti le sarcasme sous le rapprochement ? Ce n'est qu'un ricannement purement verbal, certainement pas un argument, ce serait en effet très réducteur. Tu es loin d'être un imbécile, alors tu dois être capable de reconnaître l'ironie quand tu la rencontre chez les autres ? Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit.

Tiens tu tant à me répertorier ? Je ne suis certainement pas anarchiste. L'es tu toi-même ? Je t'avais dit que je penchais davantage vers le conservatisme... ce qui ne m'a jamais empêcher de clamer haut et fort ce que je pense, en l'occurence que ton texte est sans intérêt (si jeune et déjà obsédé sexuel ?!?!?!? quand même pas j'espère !)

Terminale littéraire effectivement. Là tu as touché juste. Si tu as bien douze ans, tu dois être en cinquième. Tu réfléchis de manière plus profonde que je ne m'y serais attendue de la part d'un jeune garçon (à part tes fantasmes sur les femmes que tu croise dans le métro !). Pour cela tu as ma considération... Mais ton texte, vraiment... non.

[Vivien]

En fait c'est ma tante, prof de français, qui m'a permi de développer mon intelligence et ma sensibilité si jeune.

Je suis très précoce je l'avoue. En plus, j'ai un visage agréable.

Et je suis sûr que je ne te laisse pas indifférente... allez, mon ironie fait des ravages, je le sais, et tu es douce !

Nous devrions nous rencontrer un de ces jours.

[Petite demoiselle]

En fait c'est ma tante, prof de français, qui m'a permi de développer mon intelligence et ma sensibilité si jeune.

Je suis très précoce je l'avoue. En plus, j'ai un visage agréable.

Et je suis sûr que je ne te laisse pas indifférente... allez, mon ironie fait des ravages, je le sais, et tu es douce !

Nous devrions nous rencontrer un de ces jours.

Tu m'intéresses, mais ne me fais pas le coup du drageur ! Les filles adorent qu'on leur fasse la cour, mais elles n'aiment pas les coureurs... Pour la douceur, méfie toi mon grand ! On ne compare pas les filles aux roses sans raison. Elles sont atrayantes, mais elles ont des épines...
Je ne suis pas contre le principe d'une rencontre ceci dit, mais ne nous trompons pas de débat mon garçon. La tête dans les nuages (à défaut des décolletés des belles inconnues dans le métro!) mais les pieds sur terre, ou tu risques de tébucher. Et ça me ferait de la peine.

Ps n'oublie pas que j'ai 17 ans.

[Vivien]

Il me semblait faire preuve de beaucoup plus de logique 'terre à terre' que toi et tes divagations philoétique... enfin...

Et pour moi, 17 ans est le plus bel âge qui existe.

[Anarchie]

J'ai 54 ans. Ça vous dirait qu'on se voit tous les trois ?

[Petite demoiselle]

Il me semblait faire preuve de beaucoup plus de logique 'terre à terre' que toi et tes divagations philoétique... enfin...

Et pour moi, 17 ans est le plus bel âge qui existe.

Je te remercie. Sache seulement que plusieurs expériences malheureuses m'ont rendu très prudente sur le sujet... Sais tu ce que c'est qu'un coeur brisé, broyé, une âme sans attache, à la dérive comme un bateau ivre ? Sais tu ce que c'est de sentir tout son être saigner et se consummer de douleur en silence dans l'indifférence générale ? Sais tu ce que sais de se sentir agoniser pendant des semaines, des mois, mourir et pourrir de l'intérieur alors que le corps s'obstine à vivre ? Le sais-tu ?

Je ne souhaite cette souffrance à personne, elle peut tuer ou rendre fou. J'ai pour principe de ne jamais faire souffrir quand je peux l'éviter. Si je fais de la "divagation philoétique" comme tu dis, c'est parce que je me sais dangereuse. Tu risques de souffrir plus que tu ne pourrais l'imaginer, ça pourrait te détruire. Je sais fort bien de quoi je parle...

Si tu acceptes cette donnée, alors nous nous rencontrerons. Mais je me dois de te prévenir : tu peux en souffrir, tout comme tu peux n'en rien faire. Ca dépend de ta personnalité. Mais quoi de plus triste qu'une jeune âme brisée ?

Petite demoiselle

J'ai 54 ans. Ça vous dirait qu'on se voit tous les trois ?

Drôle de proposition de la part d'un inconnu...
Qui es tu d'abord ? On est sur un forum poétique à la base, pas un site de rencontres expresses ! Tu as quelque chose à dire sur notre échange de points de vue ?
PS je me méfie instinctivement des anarchistes purs et durs...

[Vivien]

J'attaque systematiquement les gens qui m'attendrissent ou me sont agréables. C'est une auto-défense. Tu n'es pas la seule à avoir souffert.

Je serais heureux de te rencontrer.

[Petite demoiselle]

J'attaque systematiquement les gens qui m'attendrissent ou me sont agréables. C'est une auto-défense. Tu n'es pas la seule à avoir souffert.

Je serais heureux de te rencontrer.

Alors je suis d'accord. Je te laisse fixer les modalités.
J'espère seulement pour toi que tu ne m'as pas menti... Sinon gare aux griffures ! Je n'ai rien d'une fillette sans défense.

[Vivien]

Je te joins par mp.

[Petite demoiselle]

Je te joins par mp.

Très bien. A toute' jeune poète !

[Anarchie]

Je serais là. Je porterais un long pardessus beige et des lunettes fumées noires.

[Petite demoiselle]

Je serais là. Je porterais un long pardessus beige et des lunettes fumées noires.

Tu seras là où ? Je ne te connais pas et je ne sais pas ce que tu veux. Lol, évite ce genre de propos à tout vent ou l'on te prendra pour un pervers. On ne plaisante pas avec cela.