Une mère
Au berceau des secrets, les émois maternels,
Du regard d’une mère au premier cri d’enfant ;
Qui grave son image à jamais éternelle,
Câline en protectrice en son feu réchauffant.
Dons de tous les instants, sa tendresse attentive
Et sa disposition qui jamais ne défaillent ;
Se dévoue quelquefois d’affection curative,
De tous ses mots d’amour, de toutes ses entrailles.
Vous rendre ainsi hommage avec ces quelques fleurs,
C’est ainsi faire ombrage aux douleurs qui demeurent,
Pour la joie de chérir, d’en oublier soi-même.
De votre tempérance ineffable aguerrie,
Qu’une mère peut tout faire et toujours être à même,
De transparaître ainsi, l’humanité guérit.