Quand le vent s'essouffle
Dans les champs en larme
Des grands oiseaux sans ailes
Trouvent tristement refuge
Dans d'oniriques vols d'ange.
Ainsi, ils se nourrissent du désir
De se laisser emporter
Les ailes déployées
Par les vents tranquilles
Vers de cléments rivages
Qu'ils aimeront pour toujours.
Ils auront leur mémoire remplie
De souvenirs de nuages ouatés
De sourires d'étoiles dans la nuit brève
De couchers de soleil joyeux de minuit
Et des étalages de beaux paysages imaginaires.
Mais, quand le vent s'essouffle
Dans les champs en larme
Et que la réalité porte le deuil du temps
Des tristes oiseaux sans ailes
Crient leur détresse aux cieux
Alors, pleurent, pleurent autant sous la croix
Des humaines créatures sans mains
Venues des quatre coins du monde.
bibi 2007

SOUS LA CROIX
Débuté par bibi, mars 03 2007 10:55
7 réponses à ce sujet
#1
Posté 03 mars 2007 - 10:55
#2
Posté 04 mars 2007 - 01:03
Dans des oniriques vols d'ange.
Venues des quatre coins du monde entier.
Bonsoir Bibi,
J'ai trouvé ton texte trop descriptif et du coup... pas très attrayant. Je ne sais pas comment le dire autrement.
Et puis il y a deux ou trois choses un peu "maladroite" : "dans des oniriques vols d'ange" (d'oniriques plutôt ?)... ou "venues des quatre coins du monde entier" (le "entier" est peut-être en trop).
Félice.
#3
Posté 04 mars 2007 - 03:59
un commentaire trop pro et trop hautain qui pousse a se demander qu'elle sont tes propres qualités
très oroboros comme concept
très oroboros comme concept

#4
Posté 04 mars 2007 - 04:03
j'ai aimé :
Dans des oniriques vols d'ange.
Par les vents tranquilles
Qu'ils aimeront pour toujours. (mal grès sont coté supra naïf)
De souvenirs de nuages ouatés (mal grès la lourdeur rythmique)
De couchers de soleil joyeux de minuit (mal grès sont coté supra naïf)
Et des étalages de beaux paysages imaginaires. (mal grès sont coté supra naïf)
Des humaines créatures sans mains
Venues des quatre coins du monde entier. (mal grès sont coté les vaccances du petit nicolas)
Dans des oniriques vols d'ange.
Par les vents tranquilles
Qu'ils aimeront pour toujours. (mal grès sont coté supra naïf)
De souvenirs de nuages ouatés (mal grès la lourdeur rythmique)
De couchers de soleil joyeux de minuit (mal grès sont coté supra naïf)
Et des étalages de beaux paysages imaginaires. (mal grès sont coté supra naïf)
Des humaines créatures sans mains
Venues des quatre coins du monde entier. (mal grès sont coté les vaccances du petit nicolas)
#5
Posté 04 mars 2007 - 08:36
Je vous dis un grand merci Felice et l'Autre.
bibi
bibi
#6
Posté 04 mars 2007 - 09:41
un commentaire trop pro et trop hautain qui pousse a se demander qu'elle sont tes propres qualités
très oroboros comme concept
Dis... on peut encore penser ce qu'on veut ? Faut pas tout mélanger... le texte est une chose, l'auteur c'est autre chose.
Je ne connais pas de pro de la poésie. Ca existe ?
Le commentaire de commentaire est inutile sauf s'il sert à l'auteur. Là, ce n'est pas le cas, je crois. Dire qu'on n'a pas aimé un texte n'est pas une attaque, on se tue à le dire sur ce site !
"Le sens du poème est solitaire, arbitraire et ingouvernable", c'est une phrase dont il faut se souvenir de temps en temps.
Voilà pour les précisions (je te suggère également de passer ton com dans le forum de correction...)
Continue à écrire Bibi, ne t'arrête jamais.
Félice.
#7
Posté 16 mars 2007 - 07:25
- Oh !
#8
Posté 16 mars 2007 - 08:06
Au gibet noir, manchot aimable, Dansent, dansent les paladins, Les maigres paladins du diable, Les squelettes de Saladins.