Le ciel de son gris manteau
Couvre l'azur qui ne l'est plus
Le jaune de l'automne s'en est allé
Laissant dans son sillage une traînée blanche
Douce poudre d'écume des enfants adorée
De certaines gens détestée car unique couche
Tendres souvenirs poignant de l'inconscient
Du clair ruisseau de ma pauvre mémoire trouée
Je te retrouve blanche amie source de plaisir
Toi qui m'as si longtemps manquée car séparés
Toi que revoilà attachante douce tendre et câline
Meurtrière aussi froide et glaciale je te découvre
Douce amie qu'est-il advenu de ce temps
Où l'on jouait tous deux insouciants
Pauvre amie pourquoi me sembles-tu devenue
Une étrangère au regard froid et glacial...
P.S.:
Total improvisation, d'où le manque de rimes auxquelles
j'atttache une grande importance. Mais rime ne dit pas
poésie. Une amie m'a parlé de la "poésie dans la poésie".

Improvisation
Débuté par Le Poète Rebelle, mars 23 2008 01:58
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