Il se fait langoureux quand revient le printemps,
Il se fait rarissime dépassé les dix ans.
Quand les frissons bousculent les faibles habitudes,
Le Baiser est divin, et mon âme dénude.
Ces lèvres si sensuelles ont un gout de Rosée
Matinale ; et les tours de sa langue, déchainés.
Et de mains bien habilles Le Baiser s’améliore,
Et résonne en mon sein et s’hérissent mes pores.
Les yeux clos je savoure cet instant idyllique,
Où je touche sa peau où tout devient logique.
De cent mille sentiments mon être est habité,
Et je te les envoie par ce si pur Baiser.
Reste donc prés de moi et redonne tes lèvres,
À ce corps si chaud, habité par la fièvre.
Il se fait langoureux et il est toujours mieux,
Il se fait tard ce soir, j’en donne un si tu veux.

Le Baiser.
Débuté par esteban06, mars 26 2008 06:41
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