Verdoyants,les prés virent,ce jour de printemps,
Imitant le souffle divin,une brise,
Nonobstant les maux qui sévissaient en ces temps,
Générer un bonheur pour mes journées grises.
Toutes les peines vécues,quand tu arrives,_
Chamarrant mon esprit telles des médailles,
Incandescent magma du coeur en dérive_
N'offraient qu'image d'enfants qui se chamaillent!
Quarks de l'incarnat de tes lèvres foisonnent,
Autour de tes violettes boucles d'oreilles,
Volatils,des vers aux rimes tatillonnes,
Reluisants de l'éclat de tes yeux où veille
Impassible,un poème qui rayonne
Limpide,que ne vaut ni or ni oseille.

DATE .
Débuté par Anass, mars 27 2008 11:31
Aucune réponse à ce sujet