
La soif d'aimer
#1
Posté 29 mars 2008 - 06:14
Que tu sois d’une race ou d’une autre tu t’articules
Tu es sensible à des pulsations que tu conjugues
Même éloigné de ta muse qui te subjugue
Tu parles une langue que tous les corps maîtrisent
Pour se sentir réconforté et à l’aise, si loin soit ta muse
Ta vie puise sa sève des corps d'autrui
Épouse, amante, Muse, Leila ou Jean-Louis
Ta chair m'est chère et me nourrit
Sans elle ma vie n'est qu'ennuies
Ton corps joint au mien n'est qu'un
Surtout quand il pleut tu m'étreins
Femme qui incarne bonté et beauté
Tu nous es source de vie et de sensualité
On s'abreuve à satiété pour nous combler
En délices qu'aucun fruit ne saurait ressembler
Tu es telle une abeille qui survole mers et terres
Pour se poser et bitumer sur mon parterre
Je te vois je te sens et m'en réjouis
je revis et renais de ton éclat qui m'éblouit
_________________
#2
Posté 29 mars 2008 - 06:25
Tu es telle une abeille qui survole mers et terres
Pour se poser et bitumer sur mon parterre
Tu nous butines Rimsky Korsakoff un peu rapide, là !
Ma parole, c'est le vol du goudron !!!






#3
Posté 29 mars 2008 - 07:45
Cette passion est un bien qui est tien,
Cherches de ton opposé l'indivible lien,
A l'éternité vous serez,à jamais,arrimés.
Moi j'ai apprécié,quoi qu'en dise l'ex prof de la critique.
#4
Posté 30 mars 2008 - 08:29
le "bitume" n'a pas été corrigé !
Ce qui fait plutôt tache et enlève un peu du miel de ce poème...
Il ne s'agit donc aucunement du problème d'un lecteur critique
mais de celui d'un auteur proxénète, qui laisse volontairement son poème sur le trottoir.!

How shameful !
Paname
#5
Posté 30 mars 2008 - 09:00
L'ex prof, certainement pas ici de critique, Monsieur-Qui-Sait-Tout, mais d'autre chose ailleurs, est d'ailleurs bien mal récompensé de ses efforts humoristiques et tout à fait empathiques :
le "bitume" n'a pas été corrigé !
Ce qui fait plutôt tache et enlève un peu du miel de ce poème...
Il ne s'agit donc aucunement du problème d'un lecteur critique
mais de celui d'un auteur proxénète, qui laisse volontairement son poème sur le trottoir.!![]()
How shameful !
Paname
Tu dois être bien bas moralement pour laisser tes écrits sur le trottoir.Et demain si plus personne ne répond à tes simagrées,que te restera t-il pour te prouver que tu existes?
Je pense,donc je suis ou ma tête bouge je crois que je vis?Misére mon pauvre Paname.
#6
Posté 30 mars 2008 - 05:13
Et c'est triste !
C'est bien ahmmed, et non moi, qui laisse son écrit sur le "bitume"
et tout le monde, ou pratiquement, l'avait bien compris.
Alors, cher "Savant", prenez des cours, et laissez la parole à celui à qui je parlais de son proxénétisme.
Ce n'était pas vous, si ?
#7
Posté 01 avril 2008 - 12:06
Celui-Qui-Sait...ne sait même pas lire, c'est clair.
Et c'est triste !
C'est bien Ahmmed, et non moi, qui laisse son écrit sur le "bitume"
et tout le monde, ou pratiquement, l'avait bien compris.
Alors, cher "Savant", prenez des cours, et laissez la parole à celui à qui je parlais de son proxénétisme.
Ce n'était pas vous, si ?
Bonsoir
Je vous remercie d'avoir signalé l'erreur concernant bitume;je prendrai le soin de corriger cette erreur d'impression.
Merci bcp
Merci Paname,je me ressaisis.Bientôt l'erreur d'mprtession sera revue.Je ne sais pas pq on parle de proxénétisme et de trottoir.Celui-Qui-Sait...ne sait même pas lire, c'est clair.
Et c'est triste !
C'est bien Ahmmed, et non moi, qui laisse son écrit sur le "bitume"
et tout le monde, ou pratiquement, l'avait bien compris.
Alors, cher "Savant", prenez des cours, et laissez la parole à celui à qui je parlais de son proxénétisme.
Ce n'était pas vous, si ?
#8
Posté 01 avril 2008 - 06:15
Je ne sais pas pq on parle de proxénétisme et de trottoir.
"mettre qq'un sur le trottoir" consiste pour un proxénète à faire travailler une prostituée en extérieur
Sachant par ailleurs que "bitume" peut souvent désigner le trottoir...
J'espère que le Savant-Penseur-De-Misère-Qui-Est-Et-Qui-Sait-Tout...en prendra un peu de la graine en lisant ici les propres comm de l'auteur, qui a bien compris, lui !
On peut toujours rêver...
Amicalement, ahmmed
Paname