Quand des êtres abolissent sans cesse l'amour naissant,
Et, que l'on n'entend plus partout
Que des bruits hideux et mensongers dirent
Que soit réduite au silence la force sensible,
Et l'intensité brûlante de vivre...
Finalement, ils deviennent tous mous,
Balbutiant dans leurs corps vivants.
Et leur pouvoir n'est que parasite.
...
L'amour, c'est ce que l'être veut,
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu,
La confidence, le secret...
L'amour c'est le don de partager
Des mots échangés,
Des rires, des larmes.
L'amour est du côté de la rive
Des êtres de bienveillance
Où germe et se dilate le silence
...
Grâce à vos coeurs ouverts
A vos chairs vivantes
Accueillez
Sans honte, de se confondre à l'autre
Laissez tomber vos mains
Fermez vos bouches de votre respiration
Vos yeux
Abandonnez-vous sur une plage d'étreintes
Sous le signe de l'amour
Et ne gardez que ce qui vous alimente
Laissez
Sans colère
Le gras loisir des imbéciles
Les prétentions odieusement modulantes des uns
Et les répugnantes bassesses des autres
Sans haine
Ecrivez dans un cri d'amour
Réclamez une pensée
Attardez-vous
Dénudez-vous lentement
Et sentez le tremblement de vos coeurs
Celui de l'amour
Sans lésion
Que l'amour vous emporte
Et vous serez libre d'aimer
...

Jour sans fin.
#1
Posté 25 avril 2008 - 03:18
#2
Posté 25 avril 2008 - 03:20
Balbutiant dans leurs corps vivants.
Et leur pouvoir n'est que parasite.
***
c'est mots j'aurais voulu les avoir écrit...
au plaisir de te lire déesse
#3
Posté 25 avril 2008 - 03:27
Merci de ta lecture Aziza.
Bisou
#4
Posté 25 avril 2008 - 03:56
à bien tôt pour la joiedevie
#5
Posté 25 avril 2008 - 04:05
J'aime beaucoup ton poème qui est sensible et sincère...
Amitiés,H.
#6
Posté 25 avril 2008 - 04:35
Ton poème ramène à l'essence..Merci..Sublime!
amitiés
ténéra
#7
Posté 25 avril 2008 - 05:05
L'eau est plus clair. sans remous. Sans passion.
Ni blancheur. Ni noirceur.
Transparence et reflet,
et au fond,
des galets tout ronds...
#8
Posté 25 avril 2008 - 05:28
plein de sagesse forte et limpide.
Merci!
Amicalement
Claricorne
#9
Posté 25 avril 2008 - 05:49
je ne sais plus qui.
Joli texte.
#10
Posté 25 avril 2008 - 06:00
Quand des êtres abolissent sans cesse l'amour naissant,
Et, que l'on n'entend plus partout
Que des bruits hideux et mensongers dirent
Que soit réduite au silence la force sensible,
Et l'intensité brûlante de vivre...
Finalement, ils deviennent tous mous,
Balbutiant dans leurs corps vivants.
Et leur pouvoir n'est que parasite.
...
L'amour, c'est ce que l'être veut,
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu,
La confidence, le secret...
L'amour c'est le don de partager
Des mots échangés,
Des rires, des larmes.
L'amour est du côté de la rive
Des êtres de bienveillance
Où germe et se dilate le silence
...
Grâce à vos coeurs ouverts
A vos chairs vivantes
Accueillez
Sans honte, de se confondre à l'autre
Laissez tomber vos mains
Fermez vos bouches de votre respiration
Vos yeux
Abandonnez-vous sur une plage d'étreintes
Sous le signe de l'amour
Et ne gardez que ce qui vous alimente
Laissez
Sans colère
Le gras loisir des imbéciles
Les prétentions odieusement modulantes des uns
Et les répugnantes bassesses des autres
Sans haine
Ecrivez dans un cri d'amour
Réclamez une pensée
Attardez-vous
Dénudez-vous lentement
Et sentez le tremblement de vos coeurs
Celui de l'amour
Sans lésion
Que l'amour vous emporte
Et vous serez libre d'aimer
...
belle ode à l'amour....
Amicalement
AILEBLEUE
#11
Posté 25 avril 2008 - 07:23
Barthélemy, s'abaisser, mais pourquoi, j'ignore tout comme toi, qui a bien pu proférer cet insensé. Il n'est question de s'abaisser mais d'aimer, tout simplement.
Des bises à tous Amis/ies Poètes.
^^
#12
Posté 25 avril 2008 - 10:58
Ailleurs dans les mots un sourire radieux - ici justement.
Bizs
Salam
#13
Posté 26 avril 2008 - 12:26
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu,
J'esperai bien en cliquant ce soir, trouver là une trace de toi. Ca fait toujours du bien de lire un truc imparfait et sans compromis. Le moins possible de compromis.
Jaguar.
#14
Posté 26 avril 2008 - 09:05
Quand des êtres abolissent sans cesse l'amour naissant,
Et, que l'on n'entend plus partout
Que des bruits hideux et mensongers dirent
Que soit réduite au silence la force sensible,
Et l'intensité brûlante de vivre...
Finalement, ils deviennent tous mous,
Balbutiant dans leurs corps vivants.
Et leur pouvoir n'est que parasite.
...
L'amour, c'est ce que l'être veut,
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu,
La confidence, le secret...
L'amour c'est le don de partager
Des mots échangés,
Des rires, des larmes.
L'amour est du côté de la rive
Des êtres de bienveillance
Où germe et se dilate le silence
...
Grâce à vos coeurs ouverts
A vos chairs vivantes
Accueillez
Sans honte, de se confondre à l'autre
Laissez tomber vos mains
Fermez vos bouches de votre respiration
Vos yeux
Abandonnez-vous sur une plage d'étreintes
Sous le signe de l'amour
Et ne gardez que ce qui vous alimente
Laissez
Sans colère
Le gras loisir des imbéciles
Les prétentions odieusement modulantes des uns
Et les répugnantes bassesses des autres
Sans haine
Ecrivez dans un cri d'amour
Réclamez une pensée
Attardez-vous
Dénudez-vous lentement
Et sentez le tremblement de vos coeurs
Celui de l'amour
Sans lésion
Que l'amour vous emporte
Et vous serez libre d'aimer
...
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu
La confidence
Ces mots evoquent a la fois la faiblesse et la force de l'amour. Une image forte et fragile des hommes..
Ornithorynque
#15
Posté 26 avril 2008 - 05:39
« pour aimer, il faut s’abaisser »
Je précise : certains l’ont oublié.
Prends un Suarès, plein d’orgueil. La prétention l’isole.
Après l’amour n’est pas forcément une réaction opposée à quelque chose – imbécillité, prétention, haine, etc. – mais ce texte m’évoque le dégoût qui l’a fait naître.
Bises (Ã Salam).
#16
Posté 26 avril 2008 - 05:41
Que soit réduite au silence la force sensible,
Et l'intensité brûlante de vivre
**
je n'ose dire : "amen"
**
au plaisir de te lire déesse
#17
Invité_Oghamm_*
Posté 27 avril 2008 - 07:38
Quand des êtres abolissent sans cesse l'amour naissant,
Et, que l'on n'entend plus partout
Que des bruits hideux et mensongers dirent
Que soit réduite au silence la force sensible,
Et l'intensité brûlante de vivre...
Finalement, ils deviennent tous mous,
Balbutiant dans leurs corps vivants.
Et leur pouvoir n'est que parasite.
...
L'amour, c'est ce que l'être veut,
L'amour, s'est s'éteindre à jamais dans l'aveu,
La confidence, le secret...
L'amour c'est le don de partager
Des mots échangés,
Des rires, des larmes.
L'amour est du côté de la rive
Des êtres de bienveillance
Où germe et se dilate le silence
...
Grâce à vos coeurs ouverts
A vos chairs vivantes
Accueillez
Sans honte, de se confondre à l'autre
Laissez tomber vos mains
Fermez vos bouches de votre respiration
Vos yeux
Abandonnez-vous sur une plage d'étreintes
Sous le signe de l'amour
Et ne gardez que ce qui vous alimente
Laissez
Sans colère
Le gras loisir des imbéciles
Les prétentions odieusement modulantes des uns
Et les répugnantes bassesses des autres
Sans haine
Ecrivez dans un cri d'amour
Réclamez une pensée
Attardez-vous
Dénudez-vous lentement
Et sentez le tremblement de vos coeurs
Celui de l'amour
Sans lésion
Que l'amour vous emporte
Et vous serez libre d'aimer
...
"Et ne gardez que ce qui vous alimente"
Tu as raison, mais cela me rend triste, Ã cette seconde, Ã cet instant.