les vents soufles au coeurs profonds
des êtres sans aucune âme
des couleures rouges sang
on des audeurs qui s'enflame.
Etre coloré à tu selement une âme ?
Dous coquon qui m"entaille,
je me meure, m'enivre
d'une vie de givre.
Caverneux moments
ou un crane ce meure
ce mouvoie et leure
la vie en ces instants.
Le grand goufre est bien la...
Courire la vie et mourire à la foie
les portes souvre
un frissont parcoure
mes instants de grouve
c'est la fin du son j'accoure
muet et crédible
dans l'entre ireverssible
je m'abîme.

abîme
Débuté par pure, avril 30 2008 01:16
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