2 replies to this topic

[Jeoffrey Stiernon]

Aujourd'hui je suis à peu près sûr..............J'ai perdu la carte d'identité obligatoire
Que je suis entré dans une machine.Je suis un sans papier sans permis de vivre sur le tard
Comme un lapin dans un laboratoire.................. Un avenir et ces ratés : on sent bien
Je me suis rendu compte de l'ordre.................................. Que l'édifice vacille
Qui régit tous les élans de ma vie........................ Le commerce international opère
Cosmagonie dont je suis le segment.................................. Sa fibroscopie finale
Les lois naturelles me structurent..........................................L'arrêté royal
Et regardent cet argent qui pousse......................................Crache sa couronne
L'indifférence de classe est l'âme
..............................Et le dentiste s'en est allé quelque part à Macao ou à Dubaï
D'une sélection de formes moyennes................La fièvre illumine sa toison d'évidences
C'est à dire partant des faisceaux.................. Et relève le cran de l'Etat de sureté
Sinon peut-être des dieux coniques............ Le crime est d'ordre (séc/rég)(ulier/ation)
.................................. Je vais vous le faire voir sous son jour le plus long :
Tu l'arme se pointe entre mes yeux
Et partage avec mon ami beaux-arts......................Je ne sais plus trop combien où je
Un mariage de mélodies réaffirmées......................Est passée par le notaire : maître
Chaque jour faisant s'en défaisant......................La mécanique de ces expropriations
Une partition: des accords majeurs......................Une partition: des accords majeurs
La mécanique de ces expropriations......................Chaque jour faisant s'en défaisant
Est passée par le notaire : maître......................Et partage avec mon ami beaux-arts
Je ne sais plus trop combien où je......................Tu l'arme se pointe entre mes yeux

J'ai perdu la carte d'identité obligatoire..............Sinon peut-être des dieux coniques
Je suis un sans papier sans permis de vivre sur le tard C'est à dire partant des faisceaux
Un avenir et ces ratés : on sent bien.................. D'une sélection de formes moyennes
Que l'édifice vacille.................................. L'indifférence de classe est l'âme
Le commerce international opère........................ Et regardent cet argent qui pousse
La fibroscopie finale.................................. Les lois naturelles me structurent
L'arrêté royal..........................................Cosmagonie dont je suis le segment
Crache sa couronne......................................Qui régit tous les élans de ma vie
Et le dentiste s'en est allé quelque part à Macao ou à Dubaï
........................................................Je me suis rendu compte de l'ordre
La fièvre illumine sa toison d'évidences................Comme un lapin dans un laboratoire
Et relève le cran de l'Etat de sureté.................. Que je suis entré dans une machine
Le crime est d'ordre (séc/rég)(ulier/ation)............ Aujourd'hui je suis à peu près sûr
Je vais vous le faire voir sous son jour le plus long : Des expropriations de sa mécanique



Jeoffrey stiernon ittre 27/04/08

Une difficulté pour lire : la solution

[Patrocle]

Je ne comprends pas bien mais j'aime bien la géométrie du texte, sa forme au sens le plus extérieur du mot : un beau tableau, presque de l'art ASCII. M'enfin, je comprends ressens vois dans le blanc des lignes de mon paysage ce que ça peut être l'interdiction de vivre sur le tard... À pluscle !

[claricorne]

J'aime ce tableau de mots
même si au bout d'un moment...
Amicalement
Claricorne