Je ne danse plus,
Mon coeur est une cage ouverte
D'où la nuit s'échappe doucement.
A tire-d'aile, je t'aime
La mer du nord a tous mes vagues à l'âme
Et le sel de mes pleurs pour une flaque de pluie
Mes rires en ritournelle, dans une boîte à musique
Pour que tu n'oublies pas
Sous les étoiles, à bout de souffle
Pâle chanson de lune tenue à bout de bras:
La fugue de vos voeux.
Perdue, loin dans tes yeux
Ambrée,
Le regard courbe
Je crois qu'on pleure,
à l'angle de mes mots.
(Elle)
Arabesque, et je divague,
La peine est un frisson
La mer se perd en hargne
Quand je plie à ton nom.
Ô valse dérisoire
De plage et de cailloux
Pour elle je suis une page
froissée par tes remous.
Et quelque chose crisse dans le silence
quand elle te pense.
JE est une ombre
Et dans tes printemps, il y a mon sourire
Je hais tes heures
Quand il me faut partir...
Quant à moi, à tire-d'aile, je peine
Pour que tu n'oublies pas

A tire-d'aile
#1
Posté 04 mai 2008 - 03:30
#2
Invité_Oghamm_*
Posté 04 mai 2008 - 03:53
Je ne danse plus,
Mon coeur est une cage ouverte
D'où la nuit s'échappe doucement.
A tire-d'aile, je t'aime
La mer du nord a tous mes vagues à l'âme
Et le sel de mes pleurs pour une flaque de pluie
Mes rires en ritournelle, dans une boîte à musique
Pour que tu n'oublies pas
Sous les étoiles, à bout de souffle
Pâle chanson de lune tenue à bout de bras:
La fugue de vos voeux.
Perdue, loin dans tes yeux
Ambrée,
Le regard courbe
Je crois qu'on pleure,
à l'angle de mes mots.
(Elle)
Arabesque, et je divague,
La peine est un frisson
La mer se perd en hargne
Quand je plie à ton nom.
Ô valse dérisoire
De plage et de cailloux
Pour elle je suis une page
froissée par tes remous.
Et quelque chose crisse dans le silence
quand elle te pense.
JE est une ombre
Et dans tes printemps, il y a mon sourire
Je hais tes heures
Quand il me faut partir...
Quant à moi, à tire-d'aile, je peine
Pour que tu n'oublies pas
auquel ma pensée s'est identifiée,
Comme si ces mots, quelq'un me les disait
et que j'y répondais en silence.
#3
Posté 04 mai 2008 - 07:40
Je voudrais t'offir des éclats de sourires...
toutes mes amitiés
bianca
#4
Posté 05 mai 2008 - 12:26
J'ai buté sur "Et le sel de mes pleurs pour une flaque de pluie"
Et je trouve que la résonance d'avec "Je crois qu'on pleure" est un peu gênante... A moins que votre narrateur n'entende ses propres sanglots (j'aurais bien mis Je crois qu'on sanglote)
#5
Posté 05 mai 2008 - 12:42
et tranche tranche leur scalpel , arme froide et froides mains..
#6
Posté 05 mai 2008 - 01:57
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour...
Brel.
#7
Posté 06 mai 2008 - 06:07
je suis touchée du commentaire.
Un grand merci à toi d'être encore passé sous mes mots.
Amicalement,
lumi
Bianca,
Les sourires sont bienvenus, ils ne manquent pas mais de nouveaux sont toujours une réjouissance.
Je te remercie également,
Ce n'est pas la première fois que tes mots viennent m'en poser,
de ces sourires
Noctis,
Tu as raison, je n'avais pas fait attention
Je t'emprunterais ta correction tout de même plus mélodieuse dans une version plus définitive,
Merci d'avoir lu.
Nuage,
Agréables mots que tu viens poser ici,
Et comme ils expriment mieux ce que j'aurai voulu dire,
quelque part...
amitiés.