Qui es-tu, toute belle, que j'ai tant desirée,
N'apparaître jamais au désenchantement.
Quelquefois, de l'amour, Mais par toi déliré
Je ne rève en silence que d'embrassements.
Tu me dis de ces riens comme Nous essentiels
Et déposes un regard, je me sens enlacé,
Des parfums à ton cou, le plaisir élancé
Vers des cieux où ta peau est la mue de mon ciel...

Vers des cieux où ta peau est la mue de mon ciel...
Débuté par belvis, avril 13 2007 11:11
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 13 avril 2007 - 11:11
#2
Posté 14 avril 2007 - 09:09
"ta peau en mue de mon ciel "
c'est splendide et irrésistible !
Henri
c'est splendide et irrésistible !
Henri
#3
Posté 14 avril 2007 - 10:02
Oui.
Avec, touche de sagesse, "ces riens comme Nous essentiels".
Et, ce que je prends comme un profond hommage aux femmes: "par toi déliré"...
Superbe.
Avec, touche de sagesse, "ces riens comme Nous essentiels".
Et, ce que je prends comme un profond hommage aux femmes: "par toi déliré"...
Superbe.
#4
Posté 14 avril 2007 - 11:47
Moi aussi, j'ai succombé...
#5
Posté 15 avril 2007 - 08:01
Superbe, belvis, d'élan, de rêve et de désirs.
Et tout comme Henri, je trouve ce dernier vers splendide.
balila
Et tout comme Henri, je trouve ce dernier vers splendide.
balila