Siffle le serpent ; s’immisce le reptile,
Dans l’antre des Rôdeurs empoisonnés.
La peau ambre parsemée d’émeraude
S’irrite d’écailles, de rubis mordorés.
L’animal s’étend ; sa chair puissante
Libère l’infime murmure, la note du Serpent.
Un court poème écrit après une observation de plusieurs minutes d'un serpent se "chauffant au soleil".

Serpent
Débuté par Orla, mai 12 2008 06:34
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