Auteur Message Ermite
Inscrit le: 17 Juil 2006
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Le 23 Juil 22:36
J'avais oublié de te la décrire cette distance,
Que nous avions sillonnée des deux parts ;
Je l'avais oublié, ce chemin des suffisances
Où nous dansions souvent jusqu'au soir.
J'avais oublié de t'en parler encore d'hier,
Que nous en avions aussi sous nos yeux,
Et je l'avais oublié, ce regard prestataire,
Qui perçait les flots les monts et les cieux.
Mais ce que j'aimerais encore renouveler
Est bien l'idylle, les chevauchées vespérales,
Et nos feux avec leurs braises dans l'hâlée,
Qui montrait le soir où nous caressions l'avale.
Je t'aime comme mon souvenir renaissant,
Avec chaque déclin sidéral qui l'allumait ;
Je t'aime comme ce déclin qui, à l'unissant
Rougissait avec ce souvenir qu'il reprenait.
Mais je ne pourrais en aucun t'oublier
En ce chemin des souvenirs où le regard,
Qui me rallumait à chaque randonnée,
Rallumait aussi l'amour son feu et son art
hamid khenat et dorothée.
il n'a rien de vrai ce poème, tout simplement tiré du néant.
