Vous voir nu , dans votre propre inquiétude.
L’Univers scintillera, dénudé.
Ce Monde-là sera, moins, angélique dans la forme,
Fermé sur des futurs, sur un horizon opalescent.
Vous voir nu, et y voir le regard de votre l'inquiétude.
Sur votre visage parcourra une mer fiévreuse,
Elle ne trouvera pas encor,sa propre clarté.
la pluie recherche une stature fragile,
votre sang amour aura pleuré,
Vous entrerez, dans mon cœur admis,
Mais vous ne sauriez pas où s’y trouve la clé,
Coeur amoureux, pour que la rose y entre.
Votre ventre est un entrelacement de racines,
Vos lèvres amour, est l’aurore ou s’écoule tous vos soupirs.
Sous les roses, vous étiez couché,
Et votre sanglot mort, avait attendu son tour.

Vous voir nu, dans votre propre inquiétude.
Débuté par bernardo, avril 14 2007 09:38
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