Je crois que là est ma chance.
Je crois que là peut devenir
Un paradis, un enfer qui flambe.
Alors je choisirai de partir.
Et si le cordage semble court.
Je peux penser quelques recours.
Je peux te laisser t'amarrer
Où te laisser à ta guise voguer.
Qu'importe, je t'ai mérité.
En noir ou en blanc costumé.
En robe de soirée, asticotée
Puis au matin échevelée.
Je t'ai mérité
Pour ne pas m'apitoyer sur mon sort.
Et permettre à mon regard de s'étonner encore.
Pour rire en laissant couler nos larmes.
Et tu crois tout ce que croient toutes les femmes.

Ce que j'ai mérité
Débuté par Lisange, avril 16 2007 04:10
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