La voix griffonnée
Ta voix me tire d'un tissu de lin comme une ligne bleutée
Rouge sanguine, ta voix me retire de mes morts apathiques
Ta voix en mains d'assassin et de double-jeu
En un canon d'arme amour méfiant, mais sincère.
Le goût d'acier en salive de lèvres
En abysse de coups de feu enflammant les détritus de mes
Anciennes passons au-dessus de l'eau purificatrice.
J'ai sectionné le nez renifleur Fleurs d'Angles obliques
Et de flots de poudre noire. Maintenant, je te suis tel
L'attellement d'un cœur greffé en vivisection destruction
De cumulonimbus, de noires éclaircies. Morphine finesse
De la pointe d'une feuille dessinée en réflexion d'enfance
Finance défaillante et Vaillance de faïence scientifique.
Coiffure de logique mièvre et signal de danse endiablée.
Je te suis en homme sauvage vagissant contre la plaine
plaintive. Retard du cadran solaire Temps défait mais dominant
Comme une conscience d'arrière-plan. qui diabolise les enlisements
souffrance de Relecture mais conscience d'avancement.
Lourde gorgée déglutie de sels de saleté. Salissures de pureté
que je bois en ivrogne dépersonnalisé.
Ta voix me caresse comme la pointe d'un couteau
Auprès de la pomme de l'Adam Damier de
Damnations immortalisés dans les zébrures de la connaissance.
La naissance de ta voix comme une crise panique
Un homme trop grand d'avoir rapetissés dans le coin
De ton sourire Je cage les gages de mes agitations.
Ta voix comme une flûte de zèle passif et paresseux
Et de boisson forte de renforcement mémoriel et dans
Le reflet des flétrissures de ma peau usée, mais angoissée
De fusion. Je stipule des pas d'aiguille. Pas dru et pluvieux
Sur les sols diluviens des saumons remonteurs d'horloge
En cercle schizophrène. Effréné bruissement du vent.
Ta voix comme un sinistre nucléaire comme une réclusion savonneuse
Ta voix comme une consultation médicale
De pilules grises frisant la folie Mèches de cheveux
Section sexuée. Ta voie comme un chemin adressé. Soumission
Inutile. Et ta voix comme une invitation au chaos
Comme le miroir de mes gants rapiécés.
De nuits filantes. De nuits éventrées
Mais chaudes de ton haleine
Sur ma tempe de cicatrices.

The Scratch Voice
Débuté par Jack Tremens, mai 22 2008 05:02
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