Dans l’arène de notre lit, je te déclare, ma reine
En caressant la citadelle de tes seins au rein,
Enfourchant mon sexe dans le tien, j’ai soif et fain,
Je ne déposerai pas les armes,
Ni aujourd’hui, ni demain.
L’instant viendra ou nos mains se décroiseront,
J’aurai pour moi l’esquisse du contour de nos amours,
Sur mes les lèvres, le gout suaves de nos réveillons,
Des draps froissés écrasant nos paupières lourdes.
Et quand,
Dans l’arène de notre lit, tu seras parti,
J’écrirai au bas de mes rêveries,
Maintenant c’est fini...

ma reine
Débuté par la clef des champs, mai 31 2008 03:24
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