Si je pouvais croire, me libérer, en mourant,
Que mes pensées amoureuses, me lieraient a ce monde,
J'aurais amour, déjà mis mon corps et mon esprit inquiets
Et mon fardeau dans l’humanité moi-même :
Mais amour c’est parce que j’avais craint de trouver un passage
À travers vos larmes, et d’un conflit à un autre,
Hélas, j’en serais resté là !Dans l’espace que j’ai traversé
Sur ce côté-ci de votre corps nu qui s’était refermé sur moi.
Et maintenant mon amour, aurais-je ! Eu assez de temps
Pour qu’un destin si impitoyable me tire sa dernière flèche
Que déjà le peintre, m’aura peint avec mon propre sang :
Encore l'amour ne pourra pas me prendre mon râle sourd
Qui a dépeint ma mort avec ma propre pâleur,
Je t’en supplie amour, nous étions ensemble et nos corps avaient lui.

Que mes pensées amoureuses, me lieraient a ce monde,
Débuté par bernardo, avril 17 2007 09:07
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 17 avril 2007 - 09:07
#2
Posté 17 avril 2007 - 10:31
Il y a de la magie, ensablée, des éclairs blancs, emprisonnés...
Il y a dans ces mots l'indéfinissable, qui rend beau le fourbi des enfants.
Il y a je-ne-sais-quoi, qui me touche...
Amitié
Hauteur
Il y a dans ces mots l'indéfinissable, qui rend beau le fourbi des enfants.
Il y a je-ne-sais-quoi, qui me touche...
Amitié
Hauteur
#3
Posté 17 avril 2007 - 10:49
j'aime bien
mais ma passion pour les formes clasiques
m'empeche d'apprecie pleinement
de toute facon c'est un joli texte
amicalement
jean claude
mais ma passion pour les formes clasiques
m'empeche d'apprecie pleinement
de toute facon c'est un joli texte
amicalement
jean claude
#4
Posté 18 avril 2007 - 04:07
A vouloir parler d'elle... Ne parles-tu pas trop, trop de toi???
Moi meme en fin de premiere strophe... moi en fin de la seconde... et d'autre mon et ma par-ci par la...
A bientot
Moi meme en fin de premiere strophe... moi en fin de la seconde... et d'autre mon et ma par-ci par la...
A bientot
#5
Posté 19 avril 2007 - 09:51
Te remercie Hauteur .Il y a de la magie, ensablée, des éclairs blancs, emprisonnés...
Il y a dans ces mots l'indéfinissable, qui rend beau le fourbi des enfants.
Il y a je-ne-sais-quoi, qui me touche...
Amitié
Hauteur
Amitiés,