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un autre doux souffle.


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#1 Invité_ermite_*

Invité_ermite_*
  • Invité

Posté 18 avril 2007 - 05:51

L'hiver âpre tremblerait devant son miroir,
Son image rembarrerait son dernier soupir
Entre ses froissures, bien vieillarde, ce soir.

Le temps offusquerait sa nonchalance, oisif
D'un somme noir pour fuir le mépris et l'ire
Du vent impertinent qui soufflait sur les rives.

La pluie viderait tristement toutes ses larmes
La nuit, pour éclabousser les éloges du zéphyr
Qui titubait entre ses caresses et ses vacarmes.

Et au vif des douaires, le soleil qui, hardiment
Attendait l'accalmie, rentrerait pour reluire
Et régner avec le jour le pleurant continûment.

L'hiver âpre abandonnerait ses fronces au seuil
Des remontrances quand le vent, sur son empire
Soufflerait fortement pour briser le deuil.

Le temps sourirait sur les lèvres du printemps
Quand le vent récupérerait ses scies et sa lyre
Pour attiédir ses bises infimes d'un doux accent.

Les tendres se chercheraient dans l'apparence
Des jours amoureusement pour les maintenir
Limpides en leurs yeux avec leur quintessence,

Et au seuil de l'été, quand le soleil sur son aloi
Veillerait du matin au soir attrayant, mon désir
Je le dorerai sous ses dores, moi le vent courtois.

moi farid khenat.
farid khenat et non rabah slimane ali et complices.


poème avec arpèges intérieures en pieds de poules.
il est aussi visible sur vent normalement.

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" la chute de la nuit II "


les douaires magiques sonnet néo-classique.

Auteur Message Ermite


Inscrit le: 17 Juil 2006
Messages: 173 Le 28 Oct 17:55

Il soufflait subtilement, le vent de l'amour
Sur les tresses du temps suspendu à la frimousse
Du leurre qui redorait sous son lever sa rousse
Mise, obéissant à sa vigueur et celle du jour.

Il en recouvrait, chaleureux, tous les pourtours
Le soleil, lorsque le vent repousse les housses
Des nuages d'une haleine légère vers les brousses
Qui suaient froides chaque matin sous ses coures.

Il en restait sur ses traces, laboureur le temps
Qui se froisse avec chaque soir où gît, titan
Le soleil l'allumant du lever au crépuscule,

Et sanglotante, entre ses flammes étincelantes
La nuit retombait pour dissimuler ses macules
Loin du jour qu'elle fuyait souvent pendante.


farid khenat et non rabah slimane ali et complices.
no never david et complices erreur !
moi farid khenat qui n'aime pas le slam ici sur vent ortie et ailleurs. vous faites erreurs vous et la poste.
ils font vraiment rire ces parasites !
j'ai écrit partout en signant avec mon nom et prénom et ils trouvent de beaux mots pour mentir, pour dire qu'ils sont auteurs, incroyable, non ?
ça me fait rire vraiment, moi aussi.