En moi
La plaine est blanche à perte d'horizon
Tel un suaire d'amour
N'épongez ni mes yeux
Ni mon front
La pâleur est cousue à même ma raison
Sous le linge du jour
A P. avec toute ma tendresse.
Posté 05 mars 2007 - 12:37
En moi
La plaine est blanche à perte d'horizon
Tel un suaire d'amour
N'épongez ni mes yeux
Ni mon front
La pâleur est cousue à même ma raison
Sous le linge du jour
Posté 05 mars 2007 - 03:57
En moi
La plaine est blanche à perte d'horizon
Tel un suaire d'amour
N'épongez ni mes yeux
Ni mon front
La pâleur est cousue à même ma raison
Sous le linge du jour
A P. avec toute ma tendresse.
Posté 05 mars 2007 - 04:00
J'y ai mis l'enfantement, la sueur, le travail, le vent, la rugosité, l'artisanat. j'y ai mis le chagrin, l'éclat, le surgissement, la volonté, la fierté...
Posté 05 mars 2007 - 04:22
la liste est exhaustive ?
Posté 05 mars 2007 - 04:28
Posté 05 mars 2007 - 04:29
En moi
La plaine est blanche à perte d'horizon
Tel un suaire d'amour
N'épongez ni mes yeux
Ni mon front
La pâleur est cousue à même ma raison
Sous le linge du jour
A P. avec toute ma tendresse.
Posté 05 mars 2007 - 05:44
Posté 05 mars 2007 - 05:57
En moi
La plaine est blanche à perte d'horizon
Tel un suaire d'amour
N'épongez ni mes yeux
Ni mon front
La pâleur est cousue à même ma raison
Sous le linge du jour
A P. avec toute ma tendresse.
Posté 05 mars 2007 - 07:45
Posté 06 mars 2007 - 09:58
Posté 06 mars 2007 - 10:50
Je n'avais jamais lu Eugenio de Andrade, je suis allée pianoter pour découvrir ce grand auteur portugais. J'ai lu des extraits de "Blanc sur Blanc" et d'autres petites merveilles...Cela me donne envie d'en lire davantage. Merci Inti.
Je suis contente de vous retrouver Callinira, Anne.
Henri, "Blanche la mort?"...La mort du sentiment amoureux peut-être, laissons lui au moins cette couleur éclatante...
Posté 06 mars 2007 - 02:57
Posté 16 mars 2007 - 07:13