Perfide.
Elle est assise sur mes chimères
Et dans sa tête, il n’y a rien,
Elle n’a même pas le sens du bien !
Sans compassion, pauvre commère,
Elle se dissout dans ma silhouette,
Comme un reflet sur une lunette !
Parle pour elle que son ego,
Baigné aux larmes de ses délires,
Ses écrits aux limites du pire
Ne trouvent plus que dans l’écho,
Qu’elle donne elle-même à ses poèmes,
L’horreur coupable du blasphème.
Moietmoi juin 2008

Perfide .
Débuté par Moietmoi, juin 12 2008 06:00
6 réponses à ce sujet
#1
Posté 12 juin 2008 - 06:00
#2
Posté 12 juin 2008 - 06:24
Ses écrits aux limites du pire
quand par hasard il y en a...
...mais ne nous en plaignons pas
#3
Invité_souris_*
Posté 12 juin 2008 - 06:32
Bonjour Moietmoi,
C'est coupant comme le rasoir et pourtant pas de colère !
J'admire, fallait le faire...
Amicalement
Souris
C'est coupant comme le rasoir et pourtant pas de colère !
J'admire, fallait le faire...
Amicalement
Souris
#4
Posté 12 juin 2008 - 06:24
tu parles de qui?
#5
Posté 12 juin 2008 - 10:23
elle ne manquera pas de se reconnaître , mais elle n'est pas sur un site où je publie ,donc aucun intérêt, et ça m'a juste donné l'idée de ce poème de simple mépris, que j'ai bien aimé écrire , il est vrai...tu parles de qui?
#6
Posté 12 juin 2008 - 10:37
C'est fort ...
Je ne sais pas ce qu'elle t'a fait pour mériter ceci mais le résultat de ton mépris est frappant!
Je ne sais pas ce qu'elle t'a fait pour mériter ceci mais le résultat de ton mépris est frappant!
#7
Posté 14 juin 2008 - 07:04
elle n'est pas sur un site où je publie
eh bien...disons alors qu'elle aurait pu l'être
ou qu'elle a une sosie...
ou la faculté de se dédoubler...
ou...
et puis merde à elle !
