Des soleils qui déploient leurs ailes
Des bateaux qui volent au dessus des fenêtres
Des mots si étranges parfois que l’on ne sait plus s’ils sont faits de syllabes
Des mémoires qui glissent au vent sur les trottoirs
Ou vont les rêves d’un soir d’hivers
Sous un silence
Comme une parenthèse qui s’ouvre et se referme
Mon corps
Ton corps
Cet amour si fort
Et si fragile
Qui nous dit vient
.

reverie
Débuté par la clef des champs, juin 19 2008 12:13
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