Même couleurs, même odeurs,
L’orange foncé se mêle si bien à la modernité
Des trellis kakis couleurs d’arbres
Aux sommets déchirés.
Vingt milles personnes emprisonés,
Parmi eux combien d’innocents ?
Être libre finalement, c’est d’aller là où l’on ne souhaite même pas aller,
Bénédictions des heureux, des élus,
Nombreux sont sans cette chance.
Mais là où la guerre se passe,
LÃ il se passe quelque chose :
L’avantage de la misère, de la soufrance et de l‘injustice,
Des complaintes aimables à regarder, toutes volontés
En positions de chiens de faiences.
Poème de l'avatar inconnu.
Débuté par potem, juin 19 2008 05:27
1 réponse à ce sujet
#2
Invité_Oghamm_*
Invité_Oghamm_*
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- Invité
Posté 21 juin 2008 - 12:10
[quote name='potem' date='Jun 19 2008, 07:27 AM' post='79442']
Être libre finalement, c’est d’aller là où l’on ne souhaite même pas aller,
suis d'accord avec toi même si certains avis n'ont aucune importance.
Être libre finalement, c’est d’aller là où l’on ne souhaite même pas aller,
suis d'accord avec toi même si certains avis n'ont aucune importance.
