"New York Movie, Edward Hopper, 1939"
(musique juste pour le fun, musique d'un soir... pour ce soir...http://www.youtube.c...feature=related )
27/06/08 autre musique...
Posté 20 juin 2008 - 09:06
Posté 20 juin 2008 - 10:07
Posté 20 juin 2008 - 10:32
Merci, très touchée, ClaricorneJ'aime tes courts métrages Chop Suey.
Ils m'évoquent Scott Fitzgerald...
Elégance, ellipse et une immense tendresse...
Respect!
Bonne nuit
Claricorne
Posté 21 juin 2008 - 12:21
Posté 21 juin 2008 - 03:46
Merci à toi Bohemia! Je me souviens qu'un jour quelqu'un avait inséré (Apocope, ou toi, je ne me rappelle pas) sur un poème ce tableau et que tu l'appréciais.Merci Chop Suey je suis très touchée par ce clin d'oeil à mon texte, sous forme de Thriller; émue. Ce tableau d'hopper est particulièrement beau, et je me suis retrouvé le temps dans éclair dans la fantastique ville New-York.
Amitiés et bisou
Bohemia
Posté 22 juin 2008 - 11:44
Posté 23 juin 2008 - 08:39
Posté 26 juin 2008 - 09:04
Carla, si heureuse de ton passage. Tu fais partie de ces écritures que j'aime et qui apportent par leur vent de découverte, de profondeur, de légèreté, leur musicalité, de ces écritures avec leur style. Intéressantes. Ecritures qui parlent.Très belle ambiance...On retrouve une époque, une certaine forme de mélancolie, de solitude...Très réussi.
Posté 26 juin 2008 - 09:15
Ton texte est magnifique, Bohemia. Il m'a extrêmement touchée, émue.Le livre interdit !
La peau de cuir, le parchemin, le livre interdit... la main innocente d'une enfant : la dédicace. Comme un livre que l'on sentait qu'il ne fallait pas ouvrir. Non, il ne fallait pas l'ouvrir. Que l'on avait retardé à découvrir. Pourtant , il le fallait, elle était toujours guidée là , au coeur de ce livre. Chaque page tournait, tâchée de rousseur.
J'aurais eu peur de de ce voyage, si j'avais su ce Face à face avec moi-même, le film de ma vie
Pandore me dirais-tu ? quel espoir ? perdre l'innocence, perdre l'insouciance. Ma mémoire endormie dans ce livre....mon amnésie.
- La vie en lambeaux.....passé
Passage au point d'équilibre, fragile
Petite fille sur l'intangible....
Pourtant c'était bien à ce moment précis que j'avais decidé de l'ouvrir....
- L'hécatombe de mes amours.....
À l'ombre du rideau rouge.
Je l'avais cherché pendant des années...
Dis-lui simplement ke je l'aime.
Posté 26 juin 2008 - 09:37
Merci Charly Java...la solitude...oui...je la rends bien...peut-être qu'on rend bien ce que l'on ressent...Tu rends bien la solitude de cette femme, à travers laquelle on imaginerait volontiers Zelda, la compagne de Scott Fitzgerald...et l'on ressent aussi, c'est vrai, "derrière", comme une évocation de "Tendre est la nuit", texte le plus abouti de cet écrivain apparemment frivole, extravagant, et secrètement remué par le tragique de la vie...
Merci pour cette belle évocation...
Posté 26 juin 2008 - 09:58
Posté 27 juin 2008 - 08:37
Posté 27 juin 2008 - 08:15
Merci Louise Brune pour ta venue. Oui des textes et des commentaires enrichissants et qui font aller plus loin.J'ai été sensible à l'ensemble des textes et commentaires, ainsi qu'au rapprochement proposée par Chop Suey entre poésie et peinture. Très intéressant.
Posté 27 juin 2008 - 09:43
"Ton amour du cinéma explose." J'aime ta formule. Superbe. Merci.Ton amour du cinéma explose.
Je pense que ce tableau n'a pas été choisi au hasard...
Je pense que tu t'approches d'une forme d'écriture qui te ressemble plus.
amitiés.
Posté 27 juin 2008 - 11:09
Ton art de poser, de creuser, de rechercher. Aller au-delà , plus loin. Donner d'autres perspectives. Prolongements. Précieux.Tout l'univers d'hopper me fait penser à un Thriller, ambiance faucon Maltais. j'adore aussi celle dans le café typique style américain.
Pour en revenir au néant, ce sentiment de vide, toujours une sensation extrême de toucher le fond. Certaines personnes ne s'en sortent jamais, n'arrivent pas a retrouver la surface. Je parle pas d'un simple blues là , mais d'un profond malaise avec des crises d'angoisses, de paranoïa.
la meilleurs solution est prendre la vie comme un jeu de piste et de se retrouver soi même et donc les autres, de se mettre en scène, comme cette femme de Hopper qui semble très pensive dans l'ombre de la scène. prête à franchir le pas? c'est peut-être la question à se poser. Et ou est-ce que la scène de la vie s'arrête? hummmmm?
Sur un plan personnel, je me retrouve beaucoup dans cette toile D'hopper, j'y suis très sensible. Je pense qu'elle parle à d'autres aussi.
Amitiés
Bohemia
Posté 02 novembre 2008 - 10:42
Profondément émue par ces mots de toi...beaux...relus...encore...et encore...ça c'est le coeur même de l'esprit de tout voyageur, tu touches là le point vital de l'histoire et l'avenir. c'est une sensation que j'éprouve souvent.