
Absence
#1
Posté 22 juin 2008 - 11:00
Il y a dans mon silence
Comme un mouvement d’errance.
Il y a dans mon silence
Comme un gel.
Il y a dans mon absence
Comme un maintien d’élégance.
Il y a dans mon absence
Comme un zèle.
Têtue, refusant de voir
L’heure qui court et nous sépare.
Immobile et le port droit
Comme un roi.
Ne laissant prise au destin
Qui file caressant mes reins.
Reste en arrière et étreins
L’image de toi.
Statue dont ni l’œil ne bouge.
L’horizon qui tourne au rouge.
Tourbillon des éléments
Comme un vent.
Et dans un désert de sel,
Statue toujours grise et belle,
Suspendue au diapason
De ton nom.
Et dans un désert de sel,
Statue à jamais fidèle,
Suspendue au diapason
De ton non.
-Faust-
#2
Posté 23 juin 2008 - 12:18
#3
Posté 23 juin 2008 - 01:08
#4
Posté 23 juin 2008 - 12:00
y m'emmerde ce poème. Francis Cabrel aussi fait rimer gel avec zèle. y m'fait chier aussi lui. Si voltaire était vivant il ne lirait pas ce poème, si voltaire était vivant il dirait à yrroh que c'est pas les spaghettis qui font l'affaire non plus.
vous êtes mort ou vivant? vous vous emporté d'une façon grave, vous n'avez donc toujours rien compris?
#5
Posté 23 juin 2008 - 03:29
Sachez les deux comparses que si le ridicule dont vous faites preuves ne tues pas , en tout cas , nous autres TPsiens , il nous fait bien rire !
Dansez fous du roi !!!!!!
Bisous faust ...
#6
Posté 23 juin 2008 - 04:57
Bravo! Vous avez conquis votre lectorat: il revient, fidèle, admirer les perles de bêtise humaine que vous parsemez sur ce site!
à Eglantine: Merci pour ton commentaire et à bientôt!
#7
Posté 23 juin 2008 - 05:06
Absence
Il y a dans mon silence
Comme un mouvement d'errance.
Il y a dans mon silence
Comme un gel.
Il y a dans mon absence
Comme un maintien d'élégance.
Il y a dans mon absence
Comme un zèle.
Têtue, refusant de voir
L'heure qui court et nous sépare.
Immobile et le port droit
Comme un roi.
Ne laissant prise au destin
Qui file caressant mes reins.
Reste en arrière et étreins
L'image de toi.
Statue dont ni l'œil ne bouge.
L'horizon qui tourne au rouge.
Tourbillon des éléments
Comme un vent.
Et dans un désert de sel,
Statue toujours grise et belle,
Suspendue au diapason
De ton nom.
Et dans un désert de sel,
Statue à jamais fidèle,
Suspendue au diapason
De ton non.
-Faust-
Je trouve beaucoup de finesse
à ton écriture.
Amicalement
Claricorne