C'est une foule de sourires,
et de fauses prophéties;
qui se gavent la tete. Et
tourne, tourne en rond;
tout autour de leur ennui
Ce sont des ames bien faite,
pour la surfaces des choses.
Leurs intentions est vide.
Habillées d'un esprit avide.
Leurs gestes défaits, inutiles;
amassent milles, et milles objets
On a gagné en désir, et techniques.
Aux dépends de justices, libertés
c'est le propre de "L'HOMO EGOIST"
Loin de là , ou la parole nait d'une action.
Ou leurs mouvement indéchifrables traversent un désert.
Ou leurs ames fouillent des jardins d'ombres.
On peut croire à ce paradis, comme à l' eau vive.
C'est du sel, c'est du pain. Mais trop de richesses pour nous c'est.... :
...Une invitation à soulager leurs miseres par petite lueurs.
...Une promesse faite à leurs enfants, qui s'endorment à jamais.
Là bas on scrupte avec des yeux pleins de prières, un ciel si vide.
Ici on voit de suite, la forme des choses. L'apparence est de mise.
Dérision
Débuté par MARIE-JAMES, juil. 03 2008 12:29
4 réponses à ce sujet
#2
MARIE-JAMES
-
- Membre
-
- 7 messages
Tlpsien
Posté 03 juillet 2008 - 08:23
ton poème comme toi a la forme d'un flan-ascendant-part-de-tarte lol
L'acte poétique c'est surtout, tout déranger....
#5
MARIE-JAMES
-
- Membre
-
- 7 messages
Tlpsien
Posté 03 juillet 2008 - 09:04
tu te crois interessant moi au moins je sais que je ne manque pas de dérision
Je n'est aucun interet à etre ( ni a etre intérréssant)
La dérision me semble etre encore un acte de révolte
Et, J'ai dépensé trop de gestes, puisque le vide ne m'attend pas
Alors salut a toi.....Je reste là comme un flanc.
tu manques d'humanité
L'homme manque d'humanité
Les animaux non , ils ne s'entretuent pas eux
Je n'est aucun interet à etre ( ni a etre intérréssant)
La dérision me semble etre encore un acte de révolte
Et, J'ai dépensé trop de gestes, puisque le vide ne m'attend pas
Alors salut a toi.....Je reste là comme un flanc.
L'homme manque d'humanité
Les animaux non , ils ne s'entretuent pas eux
...Mais c'est vrai nous manquons tous d'un peu d'humanité
nous nous préférons a l'autre.
Mais l'autre ne peut exister qu'a travers nous.
Ils me restent de la place, pour parler de souffrances, et de l'ombre qui s'enfuit....
