DECHEANCE
Je vivais pleinement jusqu’au triste instant
Elle croisa mon regard, je restai de marbre
Oh! je m’embrasai ; mais elle n’en fit pas tant
Fille, emmène-moi dans l’univers macabre.
Si pure, si claire ; je marchai derrière elle
Charmeuse ; ses yeux sont une prison, hélas.
J’avance, donne moi le refus éternel
M’abandonnant ainsi tu me manques déjà .
Alors le vide s’installe, tout parait sombre,
A quoi bon aimer et endurer cette peine.
Mais rien n’est de ta faute tout est de la mienne.
Car sans en voir le fond, je m’efface dans l’ombre
Et ainsi va ma vie ; je sens mon cœur qui pleure
Amour cruel, rit et continu mon malheur.