27 réponses à ce sujet

[Erika_Edmond]

"Je te veux sans l'amour de moi. Est-ce que tu supportes une femme maintenant ? une grande menteuse en bonnet phrygien ?"
(Jean Grosjean, Apocalypse)

Lorsque les matinaux se couchent, la gare est là. Elle ne part pas, ainsi je lui dis, au creux d'un banc comme d'une oreille : « Tu es un chiffre. Et l'opération ne te change pas. J'ai mes billets, toujours, des dizaines de billets, car la plupart du temps, je sais où il habite, celui qui m'attend. La rupture, parce qu'elle est rupture, est imprévisible, alors tu vois, ma gare, j'ai dans mon sac à main quelques billets achetés trop vite, et il me faut ces week-ends où l'on souhaiterait arracher le monde hors de soi, justement en parcourir un bout. Et qui plus est vers la ville de celui qui. Celui qui quoi ? Je me penche vers mes pieds (on se penche ainsi quand on pense, ça doit bien être la preuve que ça ne pense pas à grand-chose un mort ?) et je contemple le fond de mes opinions. Ça viendrait d'où, tout ça ? Le détester, ça viendrait d'où ? Et détester sa ville parce que j'y suis passée dans son sourire, accompagnée par son bonheur ? Ça ne rime à rien, comme mes poèmes, qu'il ne lisait qu'avec la contrainte du faire plaisir. Ça ne rime à rien non par manque de sens, mais par manque de musicalité. Tout juste s'il ne concluait pas, « mais c'est joli, ne t'en fais pas ». Ce n'est pas très beau tous ces embobelinages d'une relation (ça sera voie D), on fait semblant de se tourner, se retourner, et surtout on tourne en rond, en fait. Voie D, David. Je vois des signes partout, ma gare, parce que je voudrais souffrir encore un peu plus. Je voudrais souffrir au point que tout le monde me plaigne, et toi rougisse, que tout le monde s'écroule, et te punisse, je voudrais, je voudrais, et quelle affreuse chose que la volonté du blessé, c'est seulement du sang, seulement du sang bariolé de grumeaux de cailloux et d'extraits de goudron. Dans la nouvelle que j'écris en ce moment, il y a tout un passage entre l'héroïne et un homme plutôt bizarre, et cette scène cruciale (je te dirai pourquoi ensuite) se déroule dans une gare, et toi pour préciser. Je n'aime pas les départs de train, ni ses arrivées, je préférerais dans la vie être une gare abandonnée où plus personne ne pénètre ni ne se casse. Le seul voyage à faire c'est de cicatriser. »













vous aimez ? vous trouvez que ça tue sa maman ?

vous n'aimez pas et vous voulez pouvoir ne pas aimer encore plus ?


alors ce lien est fait pour vous :
http://mfkrevue.free.fr/mfk/revue



Le roman de gare de MAUREEN : "Sympho avec la mort"


mot de passe et paiements : kwizera25@hotmail.com





bisous les vieux

[Noctis]

vous aimez ? vous trouvez que ça tue sa maman ?

vous n'aimez pas et vous voulez pouvoir ne pas aimer encore plus ?

Moi ce que je n'aime pas, c'est la publicité sauvage.

[LeGénéralHamilton]

ça n'a pas l'air d'avoir beaucoup de succés.

Moi ce que je n'aime pas, c'est la publicité sauvage.

Oui parce qu'il y a publicité sauvage et civilisé :
Civilisé c'est celle qui te demande ton avis. Elle est polie la gentille publicité civilisée.

[Erika_Edmond]

ça n'a pas l'air d'avoir beaucoup de succés.

on en est à 4 lectures. Vu la taille et la complexité du machin, c'est bien plus que ce que je n'ai jamais obtenu sur internet. Donc c'est pas si mal que ça. Sans compter tous ceux qui économisent encore parce qu'ils pensent que c'est vraiment payant, ahaha.

[.ds.]

Bisous le Jeune ^^.

[Erika_Edmond]

coming up next on MFK :

- Qu'est-ce que tu me dis, Gaston ? tous impliqués ? tu te fous de ma gueule ? tu moques ma gueule mon vieux ?

Il me devançait avec ses yeux gros pour le conflit. J'allais répondre, et puis...

- Tu t'es p't'être oublié en train de lui ouvrir le ventre la petite ? T'as la mémoire qui te coule facilement l'encre comme une bonne larme qu'on essuie pour draguer ? Je t'en prestidigiterais des "tous impliqués", moi, mes fesses, oui ! Ils ont rien participé du tout, ici ! La dernière fois qu'on les a vu se bouger pour des pareilles, c'était de bien loin, de leur fauteuil, dans un seulement rôle d'assistant, de suiveur, de chef de gare. Et ça n'a rien à voir du tout, s'en faut d'années lumières ! Tes livres ont rien à voir du tout, non plus. Tes historiettes deux billes trente-cinq. On apprend rien avec les histoires, Gaston.

- Alors pourquoi tu me laisses écrire tout ça ?

- Parce qu'il faut que quelqu'un justifie, Gaston. Il faut qu'on en finisse dans un bon feu immense où viendraient se réunir tous les enfants de nos femmes. Et nos femmes et nos hommes qui se regarderaient danser devant ce feu. Tu sais comment les allemands ont survécu de leurs horreurs à eux ? Par Nietzsche ! Goethe ! Tu connais Erika Mann ? Même pendant qu'ils savonnaient, Gaston, ils avaient des Erika Mann ! Fille de Thomas ! Soeur de Klaus ! Une lesbienne, tu comprends, Gaston ? On a qui, nous, hein, pour nous en sortir ? Les seules putains de fois où j'entends le nom de mon pays dans ce foutu monde c'est pour signaler un singe nu avec une grande machette. Tu veux savoir notre problème, Gaston, le problème des putains de nègres, Gaston ?


Je n'ai jamais compris l'animosité d'une partie de la soi-disante "communauté" noire envers Michael Jackson. Quand on voit les efforts et le bruit générés par cette même frange pour obtenir l'égalité, ils devraient se réjouir qu'un des notres ait poussé à un tel degré l'assimilation.
Même s'ils se rattrapent avec bonne volonté, les noirs ont quelques leçons de racisme en retard. Ils copient, mais copient mal. Ils visent trop haut. L'épuration, les massacres, les grèves de la faim (déguisées en famine), alors qu'un peu de littérature, - et pourquoi pas, une religion ? - un peu d'histoire suffisent amplement. Les blancs l'ont bien compris, mais chez eux c'est naturel. On ne lutte pas contre la culture des gènes.
Je crois avoir compris le problème des putains de nègres, comme le disait Jean de dieu. Moi, je vous le dis, nos nègres veulent le paradis, mais ne veulent pas mourir.

extrait de "Uwonkunda III : Les anges de cendre"


bientôt disponible en pdf sur MFK, y'all cocksuckers !

[Lé Clone]

...

Cet extrait ne donne pas envie de lire davantage. Ecriture lourde, peu de relief, peu d'exigence, peu d'originalité, condensé de moralité, étalage de sa science, philosophie de comptoir, rien de nouveau sous le soleil de l'écriture. Tu me permettras de le dire de cette manière aussi abrupte. Je n'ai aucun gant à prendre avec quelqu'un se foutant constamment de la gueule des autres avec un petit air de supériorité n'ayant lieu d'être, cher Adrien. Evite le thème de l'adéquation, c'est très quelconque. Evite-moi aussi, cette fois-ci, le coup du fan club. Ce n'est pas du tout partagé.

[J.G. Mads]

VLAN !

[J.G. Mads]

C'est une attaque ?!!

Encor une attaque ?!!

Précisez votre pensée SVP...

[Erika_Edmond]

bonjour Chantal. Depuis quand on se tutoie ma grande ? Désolée de pas avoir donné de nouvelles pendant si longtemps, je vais voir si j'ai encore votre mail.

[serioscal]

L'absence de relief, c'est en effet le principal reproche que je ferais à ce texte - comme aux productions de l'auteure et de son alter ego - et le phénomène est troublant, si troublant que je voudrais l'appréhender sans polémique, ce qui est délicat mais que je sais possible car si l'auteure, je ne la connaitrai jamais - hélas ou non, je ne suis pas Audrey Hepburn ! - son alter ego, nous avons eu l'occasion d'échanger, de batailler, de nous apprécier comme de nous haïr, bref - je sais bien qu'il existe, ce qui est une condition somme toute sine qua non pour dialoguer, dire tu, etc. L'absence de relief, voilà une particularité qui poursuit non l'auteure dis-je mais son alter ego, non dénué de talent, non dénué de maîtrise, mais dénué de nudité.

J'ai déjà fait cette demande et je sais qu'à certains elle paraîtra incongrue. Sois nu, enfin. La valse des pseudos, tu le noteras, n'a rien de fortuit. Les masques ne trompent pas quand ils s'offrent comme des masques puisqu'ils ont l'être de leur être-masque. Or - je crois que c'est Marina Tsvetaieva qui disait cela - "le poète est nu". Et s'il est nu, camarade, ce n'est certainement pas pour montrer ses pectoraux, ses biceps, son imposante musculature, un membre à rendre folles les demoiselles les plus exigeantes. C'est au contraire pour signaler qu'il a du bide, que son corps est difforme, qu'il a de grosses plaies, que tout cela non seulement ne l'empêche pas d'être humain mais qu'au contraire cela le rend singulièrement humain. C'est aussi ce que dit Michaux, dans "L'éther" (in La nuit remue) quand il énonce : "L'homme a besoin de faiblesse."

De cela aussi, on a déjà parlé. Mal mais tu t'en souviens. Je ne crois pas que le poème soit accessible au fort et au vainqueur. Je ne dis pas que le poète soit nécessairement poète par handicap, mais ce qu'appréhende le poète que ne saisira jamais l'homme - la femme - de pouvoir - c'est le sens et la nécessité de la faiblesse. De sa propre faiblesse. Plurielle, qui plus est. Et la première des faiblesses, c'est la nudité. La vraie, pas celle de la mythologie pornographique. Celle qui rend si violente certaines des photographies du cycle ahurissant d'Andres Serrano, A History of Sex.

Il faut tout oublier à présent. Et devenir-redevenir le premier homme - la première femme. Inventer la parole. Celle qui rend.

[Erika_Edmond]

Salut camarade

D'abord, avant de rentrer dans la longue réponse qui va suivre, je tiens à préciser que si je poste ici sous Erika_Edmond, c'est que Tim n'a jamais voulu réactiver mon compte premier, mon pseudo Kwizera. Je n'ai pas eu ta chance, pascal, de réintégrer mon identité. Erika_Edmond n'est ni un personnage, ni une auteure. Maureen et Chloe Danthes en revanche, si. C'est de cela dont je vais tenter de parler ici, entre autres.

Tsvetaeva a bel et bien dit que le poète était nu, mais si c'est l'extrait auquel je pense, c'était dans un contexte particulier ("L'affaire du poète : ouvrir - puis couvrir. La voix est pour lui une armure, un masque. Sans le voile de sa voix - il est nu. [...] Le poète NE PEUT PAS déclamer ; c'est honteux et offensant. Le poète est solitaire ; pour lui, l'estrade, c'est le pilori." Octobre en wagon).

La nudité du poète, elle m'obsède. J'avais écrit un texte à l'époque où je parlais justement de la nudité en ces termes : "Je suis, c'est entendu, un jeune de l'ancienne école… je ne serai pas chef de file du déshabillage public ! j'ai le vice caché de m'exciter de la situation vestimentaire… Je m'inquiète du look… à poil je trouve que souvent le charme manque ! N'étant pas moins animal qu'un autre, ni plus disposé à froisser ma compagne, j'expédie l'affaire avec le doigté qu'elle requiert, mais vous m'avez saisi, ceci n'est point mon pied !" (Dialogue)

Est-ce que j'ai changé d'avis depuis ? Difficile de dire que oui, je reste en accord avec ce qui est dit ci-dessus. Cependant, la nudité dont tu parles, elle me semble autre, et je pense l'avoir touché durant des lectures qui ont suivies. Je pense ici à Roubaud, Char, Célan, Fondane et Grosjean. Presque ma liste complète de ceux que j'aime lire en poèsie. Mais, là où je vais revenir sur Tsvetaeva que nous citions plus haut, c'est qu'il me semble que cette nudité ne doit avoir qu'un seul objectif : avoir la peau du poète. Il faut aller plus loin que le simple dénuement, "même si la peau et la chair viennent avec" (M.T.).

Bien qu'elle paraisse triviale, l'image qui ferait de la peau le papier, du sang l'encre et des os le stylo, est presque juste. Qu'est-ce que je fais quand je change de pseudo d'écriture ? Je change de peau.

Je modélise trois niveaux dans l'écriture : l'auteur - le narrateur - le personnage. Prose ou poésie, n'importe. Je ne fais pas de ces trois entités des cloisons distinctes. Par contre, la communication ne se fait que d'un niveau à l'autre. Autrement dit : entre l'auteur et le narrateur, entre le personnage et le narrateur, mais pas entre l'auteur et le personnage. Pour moi, mon questionnement est donc le suivant : le "je" du poème vient de quel niveau ? et le "je" de la prose ? Où faut-il classer la distinction Gary/Ajar ? (le troisième est-il Romain Acew ou Jean Danthes ?) Et Pessoa/Caeiro ? Comment faut-il prendre la phrase de Proust "Elle disait : "Mon" ou "Mon chéri", suivis l'un ou l'autre de mon nom de baptême, ce qui, en donnant au narrateur le même prénom qu'à l'auteur de ce livre, eût fait : "Mon Marcel", "Mon chéri Marcel"." (La prisonnière).

Une de mes tentatives de réponse est la suivante (attention, il s'agit d'une piste, peut-être que j'en ferais un dogme, ou un axiome pour réfléchir à partir de ça, mais je n'en fais pas une vérité) :
Il faut considérer le problème à l'envers. Partir de l'œuvre pour arriver à l'œuvre. (Mais une oeuvre nouvelle, une oeuvre qui a trouvé sa "Terre d'écriture"). Et introduire dans ces rapports, dans le chemin de l'œuvre à l'œuvre, le lecteur. Cela va te ravir, mais c'est une étape de sérialisation. (C'est d'ailleurs le thème du texte que je t'ai promis pour le chasseur abstrait). On construit une série à partir d'une suite, la suite c'est l'écriture, la lecture c'est la somme. Et donc si je pars de la somme, que j'extrais le lecteur de son corps (étape de tuer le lecteur), que j'écorche le poète de sa peau, j'ai mes trois marches qui vont de l'œuvre à l'œuvre.

Disons pour prendre cela avec une autre comparaison, que l'auteur est comme le sens. On ne cherche pas le sens en écrivant. Il vient, naturellement, parce qu'on écrit (Rimbaud, je crois, "ça ne veut pas rien dire"). L'auteur de même. Moi je ne fais que changer de narrateur, je crois. L'auteur se construit, de même que mon lecteur. Il n'est pas achevé, et il n'est pas certain que je l'achève un jour, en dehors de par ma mort.

C'est le but que je poursuis (peut-être à tort) dans la longue "Odyssée de Gaston" qui réunit aussi bien les écrits de Chloe Danthes, de Maureen que les autres ; c'est aussi celui que je poursuis à travers mon (mes) "Mouvement(s)" dans les poèmes que je propose (rarement, car la plupart restent inédits). Parce que je veux, au final, trouver la "Terre d'écriture" c'est à dire le lieu où le texte est.


Ce n'est ni un jeu ni un bal des masques. C'est des histoires de peau, rien de plus.
Only Skin (J. Newsom)


De fait, la critique de manque de relief me désole vraiment si elle vient de mon écriture en effet. Si elle vient d'une impossibilité à saisir ma démarche, d'une incompréhension de ma démarche, alors c'est regrettable mais pas sans espoir de trouver une terre commune. Et c'est bien le principal.

(j'espère que j'aurais été à peu près clair, j'ai beaucoup de mal à "débattre", je suis de nature muette).

[Lé Clone]

. La première des nudités est ETRE. Dans tout son dépouillement. Elle n'est pas de plaire, déplaire, séduire, heurter, toucher, provoquer ou posséder. Le relief est bien sous la peau — avec les os, les muscles, les nerfs, la graisse —. La peau est inimitable, elle n'a d'entendement ou de références. Elle dégage seulement une odeur, une sueur. Possède une mémoire propre, une clef génétique, un relief, une texture, une transparence… : une unicité. En poésie, la première des nudités est DIRE. Dans toute sa singularité, renommer . elle n'est pas de prendre les lèvres d'une sommité pour justifier la poésie ou SA poésie dont clefs génétiques ne sont fournies qu'avec soi-même. La greffe de peau, c'est dans les cas d'urgence. On dit souvent qu'il y a de l'urgence dans la poésie. Pour ne pas mourir. Pour respirer. Mais y a-t-il urgence à chercher valorisation - ou justification - de la couleur, du relief, de la texture, de l'odeur de SA peau dans celle d'un notable. Comme si, pour respirer intrinsèquement, la greffe se devait d'ETRE à partir de la peau protubérante d'un autre. Serait-elle plus supportable du fait même de la notabilité ? Comme si, pour exister, il devenait urgent de reproduire ce qui est si injuste dans la vie sociale, à savoir les traitements de faveur réservés aux huiles et aux notables. La poésie s'embourgeoiserait-elle, sans le (sa)voir ?


.

[Lé Clone]

Et je me permets d'ajouter, sans vouloir comparer, ni froisser personne, ni laisser supposer que je n'aime pas d'autres écritures, que, selon moi, les deux auteurs sur tlp qui ont le plus approché la " nudité " sont Christophe (Yattak) et Alexis (GénéralHamilton).


.

[Erika_Edmond]

ah ouf, ça tombe bien, parmi les meilleurs c'est ceux dont je me sens le moins proche. Une nudité comme ça, je ne la souhaite pas à mes meilleurs amis.

Et je me permets d'ajouter, sans vouloir comparer, ni froisser personne, ni laisser supposer que je n'aime pas les autres, que, sur ce forum, je ne discute qu'avec les membres de MFK ou de l'établi. Vous m'excuserez donc, Chantal, de ne pas prêter attention à vos propos.

[Lé Clone]

ah ouf, ça tombe bien, parmi les meilleurs c'est ceux dont je me sens le moins proche. Une nudité comme ça, je ne la souhaite pas à mes meilleurs amis.

Et je me permets d'ajouter, sans vouloir comparer, ni froisser personne, ni laisser supposer que je n'aime pas les autres, que, sur ce forum, je ne discute qu'avec les membres de MFK ou de l'établi. Vous m'excuserez donc, Chantal, de ne pas prêter attention à vos propos.

... tu viens d'en donner une preuve époustouflante.

Au fait, au cas où tu aurais oublié, nous nous tutoyions depuis deux ans, lors de certaines houles sur tlp, mais sans plus de complicité que cela.

Bonne route à toi, cher Adrien.

...

[Erika_Edmond]

Quoique là, je vais faire une exception sur la greffe. Sans le savoir, vous touchez un point sensible. Chez moi, oui, la greffe a répondu ce qu'on appelle un cas d'urgence. D'ailleurs le premier avatar de Maureen sur ce forum était une boîte de Cellcept.

[Lé Clone]

Quoique là, je vais faire une exception sur la greffe. Sans le savoir, vous touchez un point sensible. Chez moi, oui, la greffe a répondu ce qu'on appelle un cas d'urgence. D'ailleurs le premier avatar de Maureen sur ce forum était une boîte de Cellcept.

Tu fais ce que tu veux. Je ne vis pas que d’exceptions et ne vais pas jouer au chat et à la souris avec toi. Mon espace vital est plus extensible. J’ai, donc, sans le savoir, touché un point sensible. Je ne sais qu’en faire. Toujours est-il que je me souviens avoir aimé l’écriture de Maureen, avoir parlé de sa " fraîcheur ". Je réitère mes souhaits de bonne route, à Kwizera, Gaston, Maureen, Chloé, Erika et les autres. Salut !

[Erika_Edmond]

Lé Clone : puisque tu tiens au tutoiement, on va y aller franco. Tu sais pourquoi je ne discute plus avec personne d'autres que mes collègues (ici ou ailleurs) ? Pour éviter justement ce genre de réponses-réponses, tout à fait inutiles. Ils servent à quoi, là, tes posts, à part confirmer que tu dois m'en vouloir pour une raison x ou y remontant aux archives de je ne sais quelle époque sur TLP ?

Tu fais une 1ere remarque qui m'a tout l'air d'être dictée par mon intervention sur un de tes topics, pour preuve l'apport de Povoite au même moment. Remarque à laquelle je n'ai rien à redire puisque c'est une simple opinion. En revanche, je peux et je réponds à pascal qui lui prend le temps de sortir de l'opposition triviale pour proposer une critique, pour le moins, argumentée. J'y réponds comme je peux, sans prétention, et moins pour me justifier que pour comprendre. Mais toi, je ne sais pas quoi te dire, je ne suis pas à l'aise dans les conflits, surtout quand je n'en saisis pas les tenants. Alors j'ai essayé le second degré, le premier, le silence, et si c'est ce dernier qui marche le mieux, eh bien soit, mais je te demanderais de t'y tenir également. Merci.



(et c'est bizarre mais je pourrais copier coller ce com dans tous les forums où j'essaie d'intervenir. Comme quoi, ils sont tous les mêmes, ces forumeurs.)

[Lé Clone]

Lé Clone : puisque tu tiens au tutoiement, on va y aller franco. Tu sais pourquoi je ne discute plus avec personne d'autres que mes collègues (ici ou ailleurs) ? Pour éviter justement ce genre de réponses-réponses, tout à fait inutiles. Ils servent à quoi, là, tes posts, à part confirmer que tu dois m'en vouloir pour une raison x ou y remontant aux archives de je ne sais quelle époque sur TLP ?

Tu fais une 1ere remarque qui m'a tout l'air d'être dictée par mon intervention sur un de tes topics, pour preuve l'apport de Povoite au même moment. Remarque à laquelle je n'ai rien à redire puisque c'est une simple opinion. En revanche, je peux et je réponds à pascal qui lui prend le temps de sortir de l'opposition triviale pour proposer une critique, pour le moins, argumentée. J'y réponds comme je peux, sans prétention, et moins pour me justifier que pour comprendre. Mais toi, je ne sais pas quoi te dire, je ne suis pas à l'aise dans les conflits, surtout quand je n'en saisis pas les tenants. Alors j'ai essayé le second degré, le premier, le silence, et si c'est ce dernier qui marche le mieux, eh bien soit, mais je te demanderais de t'y tenir également. Merci.



(et c'est bizarre mais je pourrais copier coller ce com dans tous les forums où j'essaie d'intervenir. Comme quoi, ils sont tous les mêmes, ces forumeurs.)

Mais non, mais non. Aucune " preuve " de quoi que ce soit. Ce que fait Povoite, je n'en suis pas responsable et encore moins concernée. J'ai cru bon d'intervenir sur ton texte parce que je l'ai pris comme une invitation à discuter et/ou une illustration par rapport aux " pensées les plus dangereuses pour l'humanité ", dont tu avais précédemment parlé sur le topic où tu es intervenu d'une manière que je qualifie de sectaire et brutale. Sur le fond de ton texte, j'ai dit les choses telles que je les ai strictement pensées. C'était une opinion. Et je la maintiens. Il n'y avait et il n'y a aucun soupçon de vengeance par rapport à x ou y fait datant des calendes tlpsiennes, ni même de maintenant. Sur la forme, oui, effectivement, je n'ai pas pris de gant pour formuler ma pensée. Parce que toi-même tu en prends rarement et n'en as pas pris pour nous dire violemment d'aller discuter sur autre chose. Tu ne peux pas accepter que j'utilise le même procédé désobligeant que le tien ? Point.

[Erika_Edmond]

Oui, donc c'est ce que je disais, tu interviens ici uniquement parce que tu as été énervée par mon com sur un autre topic. Donc ça ne m'intéresse pas. Donc tu as aussi mal lu cette intervention, et la phrase que tu en isoles.

Et l'argument du "j'ai bien le droit de le faire, puisque c'est toi qui a commencé !" je crois qu'après le CM2 on a plus le droit de l'utiliser.

[Lé Clone]

Non, Adrien, je n'isole aucune phrase. Je répète : J'intervenais parce que j'ai pris le fait que tu remontes ton texte comme une invitation à discuter et une illustration " des pensées les plus dangereuses pour l'humanité ". C'est cela qui est important. Dans mon esprit, c'était une sorte de continuité du thème. Avec du recul, sur la forme, le fait de commenter avec raideur n'est pas la meilleure chose, j'en conviens, mais je ne pensais pas 1) que cela te toucherait à ce point, 2) que cela allait prendre cette tournure et 3) c'est à toi de ne pas isoler les mots et occulter ma deuxième intervention à propos de la " nudité ". Elle est toujours dans la continuité. Je parlais sérieusement. Elle vaut ce qu'elle vaut mais elle fait partie du tout.

Que cela ne t'intéresse pas, c'est possible. Quant à l'argument du CM2, je crois que toi et moi en sommes assez loin : ce n'est pas un droit, ce n'est pas parce que tu as commencé, c'est parce que la parole est friable. Morcellée. Fragile. Le cri inconstant des émotions. Je crois que c'est aussi cela être humain, avec toutes ses imperfections.

[Erika_Edmond]

oui, je vais surtout m'appliquer à faire ce à quoi j'excelle le plus : fermer ma gueule. Quand on ne sait pas parler, il n'y a que ça qui permette d'échapper à la mort. Vous savez, l'image de la greffe, elle n'est pas gratuite ; histoire de don et de dette.

désolé d'avoir pris un peu de votre place.

[.ds.]

Je dis qu'il n'y a rien, mis à par l'insignifiant, et encore, je l'ignore.

[Erika_Edmond]

La release du moit d'août est dispo sur le site MFK.

Il s'agit d'une nouvelle de Kwizera : "Les anges de cendre".

Extraits et liens vers la 1ere partie ICI.

Pour le mot de passe, adresser un mail à kwizera25@hotmail.com





A septembre pour un nouveau pdf.

[.ds.]

La release du moit d'août est dispo sur le site MFK.

Il s'agit d'une nouvelle de Kwizera : "Les anges de cendre".

Extraits et liens vers la 1ere partie ICI.

Pour le mot de passe, adresser un mail à kwizera25@hotmail.com





A septembre pour un nouveau pdf.

C'est chouette Adrien. J'aime le personnage "Kwizera". Bah, pour le passe, tu peux me l'envoyer à mon adresse habituelle. A bientôt donc.