J'en ai marre de me faire insulter sur tlp
#1
Posté 27 juillet 2008 - 02:22
#2
Posté 27 juillet 2008 - 02:40
#3
Posté 27 juillet 2008 - 02:44
c'est pas humain
bouffe ta m...
tête de noeud
c'est pas humain ton machin
tu n'as qu'Ã crever seul c'est bien fait pour ta gueule d'egocentrix
je suis vraiment pas certain que dans la balance de notre Saigneur
ce soit MOI le plus lourd des deux
banane
Tes insultes sont d'une laideur affolante. Tu devrais lire Homère (celui du net) t'apprendrais.
#4
Posté 27 juillet 2008 - 02:48
C'est "banane" ?
Ou bien "Bouffe ta Marmelade" ?
The Problem : tu fais comme si tu étais seul au monde (ce qui est loin d'être le cas)...
#5
Posté 27 juillet 2008 - 02:53
Non,
Le problème, le vrai, c'est que ta vie est merdique !
#6
Posté 27 juillet 2008 - 03:01
"Le problème, le vrai, c'est que ta vie est merdique." ????
Si ça c'est pas une injure 1è classe, je sais pas ce que c'est !
Ecoute, vieux, je ne sais pas pourquoi tu crois que je suis un ivrogne ;
ni pourquoi ma vie serait "merdique"... mais, là , tu dépasses les borgnes !
Autrement dit : Tu dois être aveugle ! hihi !
#7
Posté 27 juillet 2008 - 03:05
#8
Posté 27 juillet 2008 - 03:16
Satan réfléchit...
Satan fume et se souvient : Tu es venu toi le premier lui briser les noix... alors qu'il te proposait son aide !!!
Satan attend...
Satan attend, j'ai dit...
Allons au bout !
#9
Posté 27 juillet 2008 - 03:17
#10
Posté 27 juillet 2008 - 03:21
quel souffle !
Tu t’expliques sur ton attitude de l’autre fois, c’est la moindre des choses !
#11
Posté 27 juillet 2008 - 03:23
#12
Posté 27 juillet 2008 - 03:24
Il était temps ! (que tu comprennes)
#13
Posté 27 juillet 2008 - 03:26
VOUS ETES UN ETRE HUMAIN
NOUS AVONS CERNER LE PROBLEME ET NOUS LAVONS RESOLU
ENFIN SURTOUT VOUS
MAIS FIGUREZ VOUS UN JOUR JAI ECRIS
UN FORUM SE CONSTITUE DE SES MEMBRES ET DE LINCOMPREHENSION QUI LES UNIT
MAIS BON LA CETAIT PLUTOT DANS MON CAS
JAI UNE PETITE MEMOIRE
BON CA CEST FAIT ON PEUT SE QUITTER EN ETANT BIEN URBAIN ET QUAND VOUS ME LAISSIEZ UN COMMENTAIRE SUR LECRIVAIN DE MERDE VOUS ME PARLIEZ A MOI !
PENDANT TOUT CE TEMPS JE CROYAIS QUE VOUS PARLIEQ DE LAUTRE !
LAUTRE VIENT DE SE REVEILLER
IL A UNE OREILLE DANS LES DENTS.
#14
Posté 27 juillet 2008 - 03:46
Tu parles de condescendance de ma part et de celle de Paname ?
Tu fais erreur
Tu confonds tu sais quoi ?
Ta frousse et la condescendance !
Tu as peur
Tu as raison d'avoir peur
Pour l'instant du moins
Tu triches tu trafiques tu modifies tes commentaires
Après coup
Et tu crois modifier le cours de l'histoire ! Simple !
Et tu attends ma réponse
Avec impatience
Et tu la liras tandis que moi
Je serai déjà au lit (oui, je suis déjà au lit...)
C'est dommage pour toi
C'est trop tard
Tu es un fossile vivotant à ce que je vois
Dans le noir
Tu te crois malin à extravaguer
Moi je serais à ta place
Je ne ferais pas le malin
Parce que les défauts que tu prêtes à tes ennemis
Sont justement tes défauts à toi
Trop tard
Je t'ai déjà dit
La seule chose par toi
Comprise
C'est que je suis
Ton ombre
PS : tu te défiles et tu n'expliques toujours pas ton attitude indigne de l'autre fois : donc cette histoire n'est pas finie... crois-moi...
#15
Posté 27 juillet 2008 - 03:48
#16
Posté 27 juillet 2008 - 04:22
Mais que fait l'autre ?
#17
Posté 27 juillet 2008 - 06:16
Ouiais le dérisoire va nulle part... mais qu’est-ce qui n’y va pas, hein ?
Cet événement si important sera oublié dans moins de deux jours ? Moins de deux jours, ça fait, sauf erreur, un jour ; or, nous sommes le lendemain ; donc (comme nous y sommes toujours), Papy Boyington ne vaut pas un clou de girofle en prophétie. NOUS AVONS CERNE LE PROBLEME ET NOUS L’AVONS RESOLU : oui et non. VOUS ME PARLIEZ A MOI ! Je ne vous le fais pas dire deux fois.
« Chose qui s'est avérée fausse » n’existe pas dans la nature.
« Ce qui est gentil que vous étiez prêt à m'aider à les récuperer ! » ressemble à s’y méprendre à la conclusion future de notre conversation, mais elle vient beaucoup trop tôt ! Nous n’en sommes pas encor là , mon Amiral ! Nous n’y sommes pas encor ET nous n’y sommes plus.
« Mais vous êtes rancunier comme type » : rancunier est un mot faible : celui qui me blesse, je le ronge, je le jette, je cours après en tirant la langue, je le saisis, je le mords, je l’enterre, puis je le le déterre, le ronge, etc. Vous êtes mon os. Je suis votre ombre. « Faire tout un foin d'une histoire pareille » : cette histoire n’est pas le foin, mais l’aiguille. Vous vous méprenez, mon Commandant Remington !
L’histoire n’est pas finie, j’ai dit, et oui et non nous avons résolu le problème.
Mais où gît, d’après vous, la solution ?