2 réponses à ce sujet

[LeGénéralHamilton]

Nous écrivons une histoire sans fin, nous entrons dans une sorte d'éternité de l'instant et croyez-moi c'est la souffrance. Souffre-t-il autant que moi de cette discussion, de cet ennui que l'on déroule ? Quand je dis c'est sans fin c'est qu'il y a toujours une réponse qui attend. Le problème entre Pivoite et moi est invicible, selon Pivoite c'est de ma faute. Selon moi je n'en sais rien je ne comprends plus rien je m'attache à son dernier message. Je suis dans la transe de la lose. La lose c'est le partout et le tout le temps, la transe de la lose c'est rare et toujours désagréable : de la frustration hypnotique.

Comment résoudre le problème entre pivoite et moi ?

Se rencontrer en réel là nous pourrions véritablement parler, faire des schémas de notre problème qui engendre des fils.

Est-ce que pivoite est mon double ?
Je suis schizophrène c'est évident, mais je n'ai qu'un ordinateur. Mais c'est possible puisqu'il met pas mal de temps à répondre (il a très bien compris que ca me frustre encore plus). Pivoite pourrait être moi-même.

Quand pivoite dit :

Tu es un fossile vivotant à ce que je vois

Dans le noir

Tu te crois malin à extravaguer

Moi je serais à ta place

Je ne ferais pas le malin

Parce que les défauts que tu prêtes à tes ennemis

Sont justement tes défauts à toi

Trop tard

Je t'ai déjà dit

La seule chose par toi

Comprise

C'est que je suis

Ton ombre


Il est dans le délire. Moi aussi J'y suis. Deux délires comme deux lacets sur le noeud qu'est la lose trance. Tout le malentendu de l'expérience forumique est le malentendu de l'homme face à son reflet = droite
à gauche, gauche à droite.

Je suis certain qu'il est impossible de communiquer quoi que ce soit.

[J.G. Mads]

Nous écrivons une histoire sans foi ni loi, nous sortons, l’un comme l’autre, de l’antre, du ventre immense de la joie, oui, nous entrons dans la souffrance. L’Amiral Badminton souffre-t-il autant que moi ? Sans aucun doute. C’est entièrement de sa faute. Oui, c’est moi. L’enfer, c’est moi. C’est par lui que le scandale est arrivé : m’agresser alors que je lui proposais mon aide ! Mordre la main et la caresse qui allait avec ! « Le sel est une bonne chose ; mais si le sel perd sa saveur, avec quoi l’assaisonnera-t-on ? » (Luc, XIV, 34) Maintenant il attend une réponse ici, et ça continue, et ça va continuer longtemps, mais je l’avais prédit : L’histoire n’est pas finie. Maintenant c’est moi qui vais attendre une réponse. Quel ennui. Je m’attache à son dernier texte. Il a très bien compris qu’il fallait continuer ailleurs. Tartiner ailleurs. L’ennui. Pépère, il croit qu’il va pouvoir continuer son glook là-bas. Continuer de tartiner son ennui dans son coin. Seul. Il croit se débarrasser de moi en m’attirant ici. Il n’a pas tort. Il déforme mon nom. Je déforme son nom. Nos sourires sont déchirants. « C'est rare et toujours désagréable : de la frustration hypnotique. »



Transe, oui.



Délire, oui.



Entre Nantes et Paris soi-disant on peut voir un arc électrique.



Mais comment résoudre le problème entre ce caporal à mille tonnes et moi ? A mille tonnes, on se demande de quoi,



Mais on ne se le demande pas longtemps.

Se rencontrer en réel, là, nous pourrions véritablement parler, faire des schémas de notre problème qui engendre des fils électriques.

Est-ce que Badminton est mon double ?
Je suis schizophrène, c'est évident, mais je n'ai qu'un ordinateur. Et cet ordinateur a appartenu à un mec qui en est mort. Je parle des ondes électromagnétiques. Ce mec mort pourrait être moi-même. Non. C’est cette valse à mille tonnes (merci Sami) qui est mon double.

Quand la valse dit :

Tu es un fossile vivotant à ce que je vois

Dans le noir

Tu te crois malin à extravaguer

Moi je serais à ta place

Je ne ferais pas le malin

Parce que les défauts que tu prêtes à tes ennemis

Sont justement tes défauts à toi

Trop tard

Je t'ai déjà dit

La seule chose par toi

Comprise

C'est que je suis

Ton ombre


Il est dans le délire inouï. Moi aussi J'y suis. Malentendu et Maldit sont dans un bateau maudit. Bâbord à droite. Tribord à gauche. Les deux tombent à l’eau.



Je suis incertain qu'il soit possible de communiquer quoi que ce soit.





C'est sans fin, tu l'as dit bouffi ! Tu es le roi et je suis ton bouffon.







Pour faire bien les choses, il faudrait déplacer tout ça dans le Salon No Comment, je trouve...

Qu'en dit mon beau miroir ?

[J.G. Mads]

Mon beau miroir a fait pschiiittt...